Liste des films les plus rentables

Pendant plus de vingt-cinq ans, le film Autant en emporte le vent a été le film le plus rentable de l'histoire du cinéma et, compte tenu de l' inflation, il le reste jusqu'à présent.

Les films génèrent des revenus provenant de plusieurs sources, notamment la distribution de films , la vente et la location de médias numériques , le merchandising et les droits de télévision et de streaming .. Néanmoins, le box-office théâtral est considéré comme le principal indicateur du succès commercial du film, principalement en raison de la disponibilité des données par rapport à d'autres indicateurs, ainsi qu'en raison de la pratique historique. L'article présente des listes des films les plus rentables de l'histoire du cinéma (à la valeur nominale et en tenant compte de l'inflation), des dirigeants qui cumulent les années et une chronologie des films les plus rentables, ainsi qu'une liste des séries et franchises de films les plus rentables. Toutes les tables sont compilées sur la base de la location internationale selon Box Office Mojo , sauf indication contraire.

Les comédies musicales , les films de guerre et les drames historiques ont toujours été les genres les plus populaires, mais les franchises de films ont commencé à dominer les collections au box-office au 21e siècle. Les positions de leader parmi eux en ce moment sont occupées par des films sur les super-héros . Le prix total des films de l'univers cinématographique Marvel dépasse 22 milliards de dollars, et le film Avengers: Final , la quatrième partie de la saga Avengers et le 22e film de la série, arrive en tête de liste. À noter également «Le monde magique de J.K. Rowling », «La Terre du Milieu », « Fast and the Furious » et « Pirates des Caraïbes »". Les dessins animés sont connus pour leurs performances constantes, parmi lesquelles les plus grands succès sont les peintures des studios d'animation Walt Disney , Pixar , DreamWorks Animation et Illumination .

Malgré le fait que l'inflation a sapé les réalisations de la plupart des films de la première moitié du XXe siècle et des années 1960-1970, il existe des franchises de films de la période qui sont toujours actives. En plus de Star Wars et Superman , des films sur James Bond et Star Trek sont périodiquement sortis; les quatre font partie des séries de recettes les plus élevées. Certains des films plus anciens, auparavant considérés comme les films les plus rentables, sont toujours en concurrence avec les leaders modernes en raison de locations répétées, mais la majorité, en raison des prix des billets plus élevés d'aujourd'hui, ne sont plus là. Cependant, avec le calcul correct du taux d'inflation, le film le plus rentable de l'époque " Autant en emporte le vent"»Reste toujours le film le plus rentable de tous les temps. Tous les frais de la liste sont libellés en dollars américains au taux en vigueur au moment de la sortie du film, sauf indication contraire.

Meilleurs films à succès

Les frères Russo sont les réalisateurs du leader et de deux autres films de la liste, chacun ayant plus de 1 milliard de dollars dans la tirelire.

À 2,8 milliards de dollars dans le monde, le film Avengers: Final est appelé le film le plus rentable, mais ces déclarations ne se réfèrent généralement qu'aux revenus du théâtre et ne tiennent pas compte de l'inflation et d'autres sources de revenus, qui peuvent constituer une partie importante des revenus du film. Ainsi, compte tenu de l'inflation, l'image est dépassée par le précédent chef d' Avatar , et celle-ci est à son tour inférieure au Titanic . Mais même si vous ne tenez pas compte de l'inflation, qui est décrite en détail ci-dessous, d'autres indicateurs doivent être pris en compte: «Titanic», en plus des 2,2 milliards de dollars qu'il a collectés dans les salles de cinéma, a gagné plus de 1,2 milliard de dollars en ventes et locations de vidéos et DVD ^[1]. Bien qu'il n'y ait pas de données complètes sur les ventes d'Avatar, il a gagné 345 millions de dollars grâce à la vente de seize millions de DVD et Blu-ray en Amérique du Nord ^[2] et un total de plus de 30 millions de DVD et Blu-ray dans le monde ^[3] . Après avoir comptabilisé les revenus de la vidéo domestique, chaque film a rapporté plus de 3 milliards de dollars. Les droits de diffusion augmentent également de manière significative les revenus du film, car pour quelques émissions de télévision, le film reçoit 20 à 25% des bénéfices de la distribution du film, ce qui dépasse les revenus du paiement à la séance ^[4] ; Titanic a gagné 55 millions de dollars supplémentaires pour la diffusion sur NBC et HBO ^[1] , ce qui représente environ 9% de son revenu brut en Amérique du Nord.

Si le film est commercialement adapté, ses revenus auxiliaires peuvent largement dépasser les revenus de la distribution de films et de la vidéo domestique ^[5] . " Le Roi Lion " au total de la distribution de films et de la vidéo domestique a rapporté plus de 2 milliards de dollars ^[6] , mais ces chiffres s'estompent par rapport aux 6 milliards provenant de la vente de billets pour la production de la comédie musicale ^[7] . Le marchandisage peut également être extrêmement rentable: le même «Roi Lion» a vendu pour 3 milliards de dollars de marchandises ^[8] , tandis que « Voitures » a gagné 462 millions de dollars en distribution de films, ce qui est très modeste par rapport aux autres films Pixar ^{[9]. ]}, au cours des cinq années écoulées depuis la publication en 2006, ils ont vendu des marchandises pour 8 milliards de dollars ^[10]^[11] . Pixar a également connu un énorme succès dans le film Toy Story: The Great Escape , qui, en plus de 1 milliard de dollars de recettes au box-office, a rapporté près de 10 milliards pour la vente de marchandises ^[12] .

Ce tableau présente les revenus des films issus de la distribution de films. Quarante-six films ont rapporté plus d'un milliard de dollars, cinq - plus de 2 milliards. Les frères Russo ont réalisé trois films dont les frais dépassent le milliard de dollars; deux d'entre eux - plus de 2 milliards de dollars. Deux films de James Cameron ont également rapporté plus de 2 milliards de dollars chacun. Deux films de Jay Jay Abrams ont rapporté plus d'un milliard de dollars, dont un de plus de 2 milliards. Christopher Nolan , Peter Jackson , Michael Bay , Joss Whedon , James Van , Chris Buck et Jennifer Lee ont tourné deux films qui ont rapporté plus d'un milliard de dollars.

Couleur de l'arrière plan indique les films loués.

Les films les plus rentables ^[13]
Non.	De pointe	Titre du film	Frais mondiaux	An	Remarque
1	1	Avengers: Final	2 797 800 564	2019	^{[# 1]}^{[# 2]}
2	1	Avatar	2 790 439 000	2009	^{[# 3]}^{[# 4]}
3	1	Titanesque	2 194 439 542	1997	^{[# 5]}^{[# 6]}
4	3	Star Wars: The Force Awakens	2,068,223,624	2015	^{[# 7]}^{[# 8]}
cinq	4	Avengers: Infinity War	2048 359 754	2018	^{[# 9]}^{[# 10]}
6	3	Jurassic World	1 670 400 637	2015	^{[# 11]}^{[# 12]}
7	7	Roi Lion	1 656 943 394	2019	^{[# 13]}^{[# 2]}
8	3	Avengers	1 518 812 988	2012	^{[# 14]}^{[# 15]}
neuf	4	rapide et furieux 7	1 515 047 671	2015	^{[# 16]}^{[# 17]}
Dix	Dix	Congelé 2	1 450 026 933	2019	^{[# 18]}^{[# 19]}
Onze	cinq	Avengers: l'ère d'Ultron	1 402 805 868	2015	^{[# 20]}^{[# 17]}
12	neuf	Panthère noire	1 346 913 161	2018	^{[# 21]}^{[# 22]}
13	3	Harry Potter et les Reliques de la Mort. Partie 2	1 341 932 398	2011	^{[# 23]}^{[# 24]}
Quatorze	neuf	Star Wars: The Last Jedi	1 332 539 889	2017	^{[# 25]}^{[# 26]}
15	12	Jurassic World 2	1 308 467 944	2018	^{[# 27]}^{[# 10]}
seize	cinq	Coeur froid	1 289 880 520	2013	^{[# 28]}^{[# 29]}
17	Dix	La belle et la bête	1 263 521 126	2017	^{[# 30]}^{[# 31]}
18	15	Les Indestructibles 2	1 242 805 359	2018	^{[# 32]}^{[# 10]}
dix-neuf	Onze	Rapide et furieux 8	1 238 764 765	2017	^{[# 33]}^{[# 31]}
20	cinq	Iron Man 3	1 214 811 252	2013	^{[# 34]}^{[# 35]}
21	Dix	Minions	1,159,398,397	2015	^{[# 36]}^{[# 12]}
22	12	Captain America: guerre civile	1,153,296,293	2016	^{[# 37]}^{[# 38]}
23	20	Aquaman	1 148 161 807	2018	^{[# 39]}^{[# 40]}
24	23	Spider-Man: loin de chez soi	1,131,927,996	2019	^{[# 41]}^{[# 2]}
25	22	Captain marvel	1 128 274 794	2019	^{[# 42]}^{[# 43]}
26	4	Transformers 3: Le côté obscur de la lune	1 123 794 079	2011	^{[# 44]}^{[# 24]}
27	2	Le Seigneur des anneaux: le retour du roi	1 120 424 614	2003	^{[# 45]}^{[# 46]}
28	7	007: Coordonnées Skyfall	1 108 561 013	2012	^{[# 47]}^{[# 48]}
29	Dix	Les Transformers: L'âge de L'extinction	1 104 054 072	2014	^{[# 49]}^{[# 50]}
30	7	Le chevalier noir: la renaissance de la légende	1.081.041.287	2012	^{[# 51]}^{[# 52]}
31	31	Joker	1 074 251 311	2019	^{[# 53]}^{[# 19]}
32	32	Star Wars: Skywalker. lever du soleil	1 074 144 248	2019	^{[# 54]}
33	30	Toy Story 4	1.073.394.593	2019	^{[# 55]}^{[# 2]}
34	4	Toy Story: la grande évasion	1.066.969.703	2010	^{[# 56]}^{[# 57]}
35	3	Pirates des Caraïbes: Le coffre du mort	1.066.179.725	2006	^{[# 58]}^{[# 59]}
36	20	Outcast One. Contes de Star Wars	1 056 057 273	2016	^{[# 60]}^{[# 61]}
37	34	Aladdin	1.050.693.953	2019	^{[# 62]}^{[# 2]}
38	6	Pirates des Caraïbes: La Fontaine de jouvence	1 045 713 802	2011	^{[# 63]}^{[# 64]}
39	24	Moi, moche et méchant 3	1 034 799 409	2017	^{[# 65]}^{[# 31]}
40	1	parc jurassique	1 029 691 118	1993	^{[# 66]}^{[# 67]}
41	22	Trouver Dory	1.028.570.889	2016	^{[# 68]}^{[# 38]}
42	2	Guerres des étoiles. Épisode I: La menace fantôme	1.027.082.707	1999	^{[# 69]}^{[# 6]}
43	cinq	Alice au pays des merveilles	1 025 467 110	2010	^{[# 70]}^{[# 71]}
44	24	Zeropolis	1 023 784 195	2016	^{[# 72]}^{[# 73]}
45	Quatorze	Le Hobbit: Un Voyage Inattendu	1 017 003 568	2012	^{[# 74]}^{[# 75]}
46	4	Le Chevalier Noir	1 004 934 033	2008	^{[# 76]}^{[# 77]}
47	2	Harry Potter à l'école des sorciers	978 087 613	2001	^{[# 78]}^{[# 79]}
48	19	Moi, Moche et Méchant 2	970 766 005	2013	^{[# 80]}^{[# 81]}
49	2	Roi Lion	968 511 805	1994	^{[# 82]}^{[# 67]}
50	30	Le livre de la jungle	966 550 600	2016	^{[# 83]}^{[# 73]}
51	40	Jumanji: Appel de la jungle	962 102 237	2017	^{[# 84]}^{[# 22]}
52	cinq	Pirates des Caraïbes: au bout du monde	960 996 492	2007	^{[# 85]}^{[# 86]}
53	Dix	Harry Potter et les Reliques de la Mort. Partie 1	960 666 490	2010	^{[# 87]}^{[# 88]}
54	24	Le Hobbit: La Désolation de Smaug	958 366 855	2013	^{[# 89]}^{[# 29]}
55	26	Le Hobbit: la bataille des cinq armées	956 019 788	2014	^{[# 90]}^{[# 91]}
56	6	Le monde de nemo	940 343 261	2003	^{[# 92]}^{[# 46]}
57	6	Harry Potter et l'Ordre du Phénix	938 580 405	2007	^{[# 93]}^{[# 86]}
58	8	Harry Potter et le prince de sang mêlé	934 326 396	2009	^{[# 94]}^{[# 95]}
59	4	Le Seigneur des anneaux: deux forteresses	927,600 630	2002	^{[# 96]}^{[# 97]}
60	6	Shrek 2	923 075 336	2004	^{[# 98]}^{[# 99]}
61	53	Rhapsodie bohémienne	903 655 259	2018	^{[# 100]}^{[# 40]}
62	8	Harry Potter et la coupe de feu	896 346 229	2005	^{[# 101]}^{[# 102]}
63	Dix	Spider-Man 3: l'ennemi en réflexion	890 871 626	2007	^{[# 103]}^{[# 104]}
64	15	L'Âge de glace 3: L'aube des dinosaures	886 686 817	2009	^{[# 105]}^{[# 95]}
65	40	007: Spectre	880 674 609	2015	^{[# 106]}^{[# 8]}
66	49	Spider-Man: Retrouvailles	880 166 924	2017	^{[# 107]}^{[# 31]}
67	6	Harry Potter et la Chambre des Secrets	879 465 594	2002	^{[# 108]}^{[# 109]}
68	29	Ice Age 4: Continental Drift	877 244 782	2012	^{[# 110]}^{[# 52]}
69	47	La vie secrète des animaux de compagnie	875 457 937	2016	^{[# 111]}^{[# 38]}
70	45	Batman contre Superman: l'aube de la justice	873 634 919	2016	^{[# 112]}^{[# 113]}
71	cinq	Seigneur des anneaux, Confrérie de l'anneau	872 491 916	2001	^{[# 114]}^{[# 115]}
72	55	Wolf war 2	870 325 439	2017	^{[# 116]}^{[# 31]}
73	34	Hunger Games: L'Embrasement	865 011 746	2013	^{[# 117]}^{[# 118]}
74	54	Gardiens de la Galaxie. Partie 2	863 756 051	2017	^{[# 119]}^{[# 120]}
75	43	Puzzle	857 611 174	2015	^{[# 121]}^{[# 12]}
76	65	Venin	856 085 151	2018	^{[# 122]}^{[# 10]}
77	60	Thor: Ragnarok	853 977 126	2017	^{[# 123]}^{[# 31]}
78	Onze	Guerres des étoiles. Épisode III: La revanche des Sith	850 035 635	2005	^{[# 124]}^{[# 125]}
79	dix-neuf	Transformers: La revanche	836 303 693	2009	^{[# 126]}^{[# 127]}
80	24	Début	829 895 144	2010	^{[# 128]}^{[# 57]}
81	33	Crépuscule. Saga: Dawn - Partie 2	829 746 820	2012	^{[# 129]}^{[# 130]}
82	7	Homme araignée	825 025 036	2002	^{[# 131]}^{[# 115]}
83	64	Wonder Woman	821 847 012	2017	^{[# 132]}^{[# 133]}
84	2	le jour de l'indépendance	817 400 891	1996	^{[# 134]}^{[# 135]}
85	59	Des créatures fantastiques et où ils vivent	814 037 575	2016	^{[# 136]}^{[# 137]}
86	71	Coco mystère	807 082 196	2017	^{[# 138]}^{[# 139]}
87	dix-neuf	Shrek le troisième	804,438,141	2007	^{[# 140]}^{[# 141]}
88	88	Jumanji: un nouveau niveau	796 575 993	2019	^{[# 142]}
89	Quatorze	Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban	796 093 802	2004	^{[# 143]}^{[# 99]}
90	68	Pirates des Caraïbes: les hommes morts ne racontent pas d'histoires	794 861 794	2017	^{[# 144]}^{[# 145]}
91	1	Extraterrestre	792 910 554	1982	^{[# 146]}^{[# 147]}
92	79	Mission impossible: conséquences	791 115 104	2018	^{[# 148]}^{[# 149]}
93	43	Rapide et furieux 6	788 679 850	2013	^{[# 150]}^{[# 35]}
94	31	2012	788 550 900	2009	^{[# 151]}^{[# 4]}
95	23	Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal	786 636 033	2008	^{[# 152]}^{[# 77]}
96	85	Deadpool 2	785 046 920	2018	^{[# 153]}^{[# 154]}
97	15	Spiderman 2	783 766 341	2004	^{[# 155]}^{[# 99]}
98	62	Dead Pool	782 612 155	2016	^{[# 156]}^{[# 157]}
99	1	Guerres des étoiles. Épisode IV: Un nouvel espoir	775 512 064	1977	^{[# 158]}^{[# 147]}
cent	51	gardiens de la Galaxie	772 776 600	2014	^{[# 159]}^{[# 50]}

^XC Box Office Mojo prend en compte les données sur la réédition britannique 2017, couplées aux frais de la location d'origine, transférant la totalité du montant à un taux de change de la livre sterling différent, contrairement à 2014, en raison de laquelle le box-office total du dessin animé est réduit de près de 10000000 $. Le montant indiqué montre la somme de deux sorties avec le taux de change en vigueur au moment de la location.

^{F8 Les} frais du film "Fast and the Furious 8" sont indiqués selon le magazine BoxOffice , et non sur le site Internet de Box Office Mojo , car des erreurs ont été détectées dans les données de ce dernier. Pendant un certain temps, les honoraires du film diminuaient dans plusieurs pays à la fois (particulièrement fortement en Argentine), ce qui rend le montant total sensiblement différent de celui indiqué ^[14] .

^II Box Office Mojo a mis à jour la collection de films Pixar en août 2016, avec pour résultat que la collection finale du dessin animé Toy Story: Big Escape n'est pas de 1,063 milliard de dollars, mais de 1,067 milliard ^[15]^[16] . Cela signifie que le pic pour le film était n ° 4, pas n ° 5, comme indiqué dans la source.

^{GY2 Le} distributeur a indiqué à tort pour le «Roi Lion» un montant de 987,5 millions de dollars au lieu de 968,5 millions ^[17] . Cela signifie que Despicable Me 2 a terminé sa position de location 1 plus haut.

^Mon Selon les données mises à jour, « Finding Nemo » a terminé la location originale avec un total de 871 millions $, ce qui est plus élevé que les frais pour la location originale du film « Le Seigneur des Anneaux: La Communauté de l'Anneau », qui est une ligne au- dessus de la source ^[18] .

^CH Après avoir pris en compte les données de "Spider-Man" issues d'une réédition conjointe avec "People in Black 2", les données de "Spider" en 2016 n'ont pas permis à "Wonder Woman" de le contourner dans la liste, à cause de quoi la 64ème ligne est devenue le sommet de la dernière ^{[19 ]} .

Meilleurs films corrigés de l'inflation brute

Le taux d'inflation dans le monde est en constante évolution, c'est pourquoi il est très difficile d'ajuster le box-office des films anciens et nouveaux.

En raison de l'effet à long terme de l' inflation , en particulier d'une augmentation significative du prix des billets dans les cinémas, la liste hors inflation donne beaucoup plus de poids aux films modernes ^[20] . Une liste excluant l'inflation, que l'on trouve généralement dans la presse, n'est pas objective, car cela n'a aucun sens de comparer des films avec un grand décalage horaire, les films des époques antérieures n'apparaîtront jamais sur la liste moderne, malgré un succès commercial plus élevé lors de l'ajustement^[21]. Pour compenser la dévaluation de la monnaie, l'inflation est prise en compte dans certaines listes, mais même cette pratique ne résout pas complètement le problème, car les prix des billets et l'inflation ne sont pas nécessairement parallèles. Par exemple, en 1970, les billets coûtaient 1,55 $, soit environ 6,68 en 2004; en 1980, les prix étaient passés à 2,69 environ, pour tomber à 5,50 en 2004 ^[22] . Le prix des billets augmente également à des rythmes différents dans le monde, ce qui complique encore le processus d'ajustement à l'échelle mondiale ^[20] .

Une autre complication est la sortie dans plusieurs formats, pour lesquels différents prix des billets sont facturés. Un exemple frappant de ce phénomène est Avatar, également sorti en 3D et IMAX : près des deux tiers des billets pour ce film ont été vendus en 3D avec un prix moyen de 10 $, et environ un sixième des billets ont été vendus en IMAX avec un prix moyen de 14, 5 $ par rapport au prix moyen des billets de 7,61 $ pour les films 2D dans les films de 2010 ^[23] . Facteurs sociaux et économiques, tels que les changements démographiques ^[24] et la croissance des marchés internationaux ^[25]^[26]^[27]affectent également le nombre de personnes achetant des billets de cinéma, ainsi que la démographie du public: certains films vendent beaucoup plus de billets pour enfants et les billets dans les grandes villes, où la plupart des spectateurs peuvent se concentrer, sont plus chers ^[21] .

Le système de mesure du succès d'un film comporte de nombreuses inexactitudes, principalement parce que le box-office a historiquement collecté des salles et les a remises au distributeur, qui à son tour les publie aux médias ^[28] . Le passage à un système plus représentatif, qui prend en compte les ventes de billets plutôt que les frais, est également difficile car les seules données disponibles pour les films plus anciens sont les résultats des ventes ^[24] . Étant donné que l'industrie cinématographique est fortement axée sur la commercialisation des films actuellement sortis, les campagnes de marketing utilisent toujours des données sans inflation, il est donc beaucoup plus facile pour un blockbuster moderne de créer un grand box-office, ce qui en fait le "film le plus rentable de tous les temps".^[22]^[29] , les distributeurs ne sont donc pas incités à passer à une analyse plus fiable d'un point de vue marketing ou même notable^[28] .

Malgré les difficultés inhérentes à la prise en compte de l'inflation, plusieurs tentatives ont été faites. Les estimations dépendent de l'indice des prix utilisé pour ajuster les valeurs brutes ^[29] et du taux de change utilisé pour la conversion entre les monnaies, ce qui peut également affecter les calculs, les deux pouvant affecter la note finale de la liste en tenant compte de l'inflation. Autant en emporte le vent, sorti pour la première fois en 1939, est généralement considéré comme le film le plus rentable. Le Livre Guinness des records en 2014 estimait ses frais d'inflation à 3,4 milliards de dollars. Les cotes du film varient considérablement: son propriétaire, Turner Entertainment , en 2007, les revenus estimés à 3,3 milliards de dollars, quelques années plus tôt que Guinness ^[30]; d'autres estimations varient de part et d'autre de ce montant, donc, selon une estimation, en 2010, le film a gagné un peu moins de 3 milliards de dollars ^[31] , une autre source réclame 3,8 milliards de dollars en 2006 ^[32] . En outre, il n'y a aucune évaluation sans ambiguïté du film qui est le concurrent le plus proche de Autant en emporte le vent. Le Livre Guinness des records place Avatar en deuxième ligne avec 3 milliards de dollars, tandis que selon d'autres estimations, le Titanic occupe la deuxième place avec des frais mondiaux de près de 2,9 milliards de dollars en 2010 ^[31] .

Les films les plus rentables en tenant compte de l'inflation du dollar en 2019 ^[33]
Non.	Nom	Box-office	An
1	Emporté par le vent	3 706 000 000	1939
2	Avatar	3 257 000 000	2009
3	Titanesque	3 081 000 000	1997
4	Guerres des étoiles. Épisode IV: Un nouvel espoir	3 043 000 000	1977
cinq	Avengers: Final	798 000 000	2019
6	Sons de musique	2,449,000,000	1965
7	Extraterrestre	2 489 000 000	1982
8	Dix Commandements	2 356 000 000	1956
neuf	Docteur Zhivago	2 223 000 000	1965
Dix	Star Wars: The Force Awakens	2 202 000 000	2015

^Inf L' inflation est calculée à l' aide du Fonds monétaire international mondial Indice prix à la consommation ^[34] . L'indice est appliqué uniformément aux données de collecte publiées dans le Livre Guinness des records en 2014, à partir de l'indice 2014. Les chiffres du tableau ci-dessus tiennent compte de l'inflation survenue de 2014 à 2019 inclus.

^{T L'} indicateur Guinness ajusté pour Titanic n'a augmenté que de 102 millions de dollars entre les numéros de 2012 (publiés en 2011) et 2015, en hausse de 4,2%, comme les autres frais ajustés du tableau, et sans les revenus 3D -réimpressions en 2012 ^[35]^[33] . Dans les données ci-dessus, des honoraires de 343 550 770 $ tirés des réimpressions sont pris en compte et ajustés à partir de 2014 ^[36] . De plus, le Titanic a été réédité en 2017, mais ces données ne sont pas prises en compte ici ^[37] .

^MF Pour le film «Avengers: Final», des millions de données arrondies à 2019 sont présentées, hors inflation.

Films les plus rentables par années

Les données du box-office sont présentées sous forme de loyers bruts ou locatifs, ces derniers étant particulièrement caractéristiques des films plus anciens. Généralement confondu avec les revenus de la vidéo domestique, le loyer est la part du distributeur dans les revenus du cinéma, c'est-à-dire les frais hors location ^[38]^[39] . Historiquement, lorsque les distributeurs possédaient des chaînes de cinéma, les prix de location se situaient en moyenne entre 30 et 40%, ce qui représentait un peu plus du tiers du montant total payé au distributeur de films ^[40] . Sur le marché moderne, en fonction d'un certain nombre de facteurs, les loyers peuvent varier considérablement, bien que la part des films des grands studios de cinéma soit en moyenne de 43% ^[38] .

Tout au long du XXe siècle, les goûts du public étaient assez divers, mais néanmoins certaines tendances se sont révélées. À l'ère du cinéma muet, les films de guerre étaient populaires, et des films comme La naissance d'une nation , Les quatre cavaliers de l'apocalypse , La grande parade et Ailes ont gagné le plus de popularité . Leur popularité a disparu avec les films muets au début des années 1930. Avec l'avènement du son en 1927, la comédie musicale est devenue le genre le plus populaire, le plus adapté à la démonstration de nouvelles technologies (en 1928 et 1929, les comédies musicales sont devenues les plus grosses recettes). Ce genre a continué d'être activement rentable tout au long des années 1930, mais pendant la Seconde Guerre mondiale , les films de guerre ont recommencé à dominer, à commencer par "Autant en emporte le vent »en 1939 et se terminant par« Les meilleures années de notre vie »en 1946.« Samson et Delilah »a marqué le début de la popularité des drames historiques de l' Antiquité dans les années 1950, lorsque le cinéma était en concurrence avec la télévision ^[41] :« Camo Gryadyshi »« Le Suaire »,« Les Dix Commandements »,« Ben-Hur »et« Spartacus »sont devenus les films les plus rentables de leurs années; par la suite, après plusieurs échecs très médiatisés, le genre a commencé à s'affaiblir ^[42] . Le succès de " Joyeux Noël " et " Pacifique Sud»Dans les années 1950, a annoncé le retour des comédies musicales dans les années 1960: West Side Story , Mary Poppins , My Fair Lady , The Sound of Music et The Funny Girl ont été les films les plus réussis de la décennie. Les années 1970 ont été marquées par un changement des goûts des téléspectateurs vers le « concept »Films: six de ces films, réalisés par George Lucas ou Steven Spielberg, ont dominé les palmarès dans les années 80. Le XXIe siècle est devenu de plus en plus dépendant des franchises et des adaptations de films , lorsque le cumul des films au box-office a été calculé en fonction de la popularité des séries existantes ^[43] .

Les films de Stephen Spielberg ont été six fois le plus gros succès de l'année, trois d'entre eux le plus gros succès de tous les temps.

Le plus souvent, les films de Steven Spielberg figurent sur la liste; en tout, ses films sont devenus six fois les films les plus rentables de l'année (en 1975, 1981, 1982, 1984, 1989 et 1993). Cecil Blount Demille (1932, 1947, 1949, 1952 et 1956) et William Wyler (1942, 1946, 1959 et 1968) occupent respectivement les deuxième et troisième places avec cinq et quatre films, tandis que David Wark Griffith (1915, 1916 et 1920), George Roy Hill (1966, 1969 et 1973), James Cameron (1991, 1997 et 2009) et Anthony et Joe Russo(2016, 2018 et 2019) se partagent la quatrième place avec trois films chacun. George Lucas a réalisé deux épisodes de la Star Saga en 1977 et 1999, mais a également travaillé comme producteur et scénariste pour les leaders de 1980, 1981, 1983, 1984 et 1989. Frank Lloyd , King Widor , Frank Kapra , Michael Curtis , Leo McCarey , Alfred Hitchcock , David Lin , Stanley Kubrick , Guy Hamilton , Mike Nichols , William Fridkin , Peter Jackson , Gore Verbinsky et Michael Bay figurent deux fois sur la liste; Mervyn Leroy, Ken Ennakin et Robert Wise ont chacun un film solo et un film conjoint, et John Ford est codirecteur de deux films. Studio de cinéma Disney, généralement mis en scène avec: Wilfred Jackson , Hamilton Lasky , Clyde Geronimi , David Hand , Ben Sharpstein , Wolfgang Reitermanet Bill Roberts, ils sont tous répertoriés sur au moins deux collaborations. Seuls sept réalisateurs sont répertoriés deux fois de suite: McCarey (1944 et 1945), Nichols (1966 et 1967), Spielberg (1981 et 1982), Jackson (2002 et 2003), Verbinski (2006 et 2007) et les frères Russo (2018 et 2019).

En raison de la date de sortie, en particulier si les films sont sortis à la fin de l'année, et des différentes heures de sortie dans le monde, de nombreux films peuvent être loués pour plusieurs années civiles, donc les données figurant sur cette liste n'indiquent pas le montant collecté par le film pour l'année , mais montrez seulement combien la photo publiée cette année a été collectée. De plus, les frais ne sont pas limités à une seule location, car de nombreux films anciens sont périodiquement réimprimés, donc les frais sont indiqués entre parenthèses après la location d'origine, les parenthèses extérieures sont des frais généraux, en tenant compte de tous les spectacles. En raison de données incomplètes, on ne peut pas savoir exactement quand et combien d'argent certains films ont gagné, mais, en règle générale, le tableau contient une chronique des films de chaque année au cours de laquelle ils ont gagné le plus. Dans les cas où les classements contredisent les données des deux films,et dans les cas où le film est sorti en tête en raison d'une réédition, le détenteur du record précédent est également répertorié.

Couleur de l'arrière plan indique les films loués.

Les films les plus rentables par année de sortie ^[44]^[45]^[46]
An	Titre du film	Frais mondiaux	Budget	Remarque
1915	Naissance d'une nation	000-100 000 000 50 000 20 000 000+ (5 200 000)	110 000	^{[# 160]}^{[# 161]}^{[# 162]}
1916	Intolérance	1 000 000	489 653	^{[# 163]}^{[# 164]}
1917	Cléopâtre	500 000	300 000	^{[# 163]}
1918	Mickey	8 000 000	250 000	^{[# 165]}
1919	Chudotvorets	3 000 000	120 000	^{[# 166]}
1920	Chemin vers l'Est	5 000 000 (4 000 000)	800 000	^{[# 167]}^{[# 168]}
1921	Les quatre cavaliers de l'apocalypse	5 000 000 (4 000 000)	600 000-800 000	^{[# 169]}
1922	Robin des Bois	2 500 000	930 042,78	^{[# 170]}^{[# 171]}
1923	Wagon couvert	5 000 000	800 000	^{[# 172]}^{[# 173]}
1924	Faucon de mer	3 000 000	700 000	^{[# 172]}
1925	Grand défilé	18 000 000 à 22 000 000 (6 113 000 )	382 000	^{[# 174]}^{[# 175]}^{[# 176]}
1925	Ben-Hur: l'histoire du Christ	10 738 000 (9 386 000)	3 967 000	^{[# 177]}^{[# 178]}
1926	Par la volonté du ciel	2 600 000	150 000	^{[# 167]}^{[# 179]}
1927	Ailes	3 600 000	2 000 000	^{[# 167]}^{[# 180]}^{[# 181]}
1928	Fou de chant	5 900 000	388 000	^{[# 181]}^{[# 182]}
1929	Broadway tune	4 400 000-4 800 000	379 000	^{[# 183]}^{[# 184]}
1929	Du côté ensoleillé	3 500 000	600 000	^{[# 185]}^{[# 186]}
1930	Sur le front occidental, inchangé	3 000 000	1 250 000	^{[# 167]}^{[# 187]}^{[# 188]}^{[# 189]}
1931	Frankenstein	12 000 000 (1 400 000)	250 000	^{[# 190]}^{[# 191]}
1931	Lumières de la ville	5 000 000	1 607 351	^{[# 192]}
1932	Signe de la croix	2 738 993	694,065	^{[# 173]}^{[# 193]}^{[# 194]}^{[# 195]}
1933	King Kong	5 347 000 (1 856 000)	672 255,75	^{[# 196]}
	Je ne suis pas un ange	3 250 000+	200 000	^{[# 197]}^{[# 198]}
	Cavalcade	3 000 000 à 4 000 000	1 116 000	^{[# 168]}^{[# 188]}
	Elle l'a déshonoré	3 000 000+	274,076	^{[# 199]}^{[# 200]}^{[# 201]}
1934	Merry Widow	2 608 000	1 605 000	^{[# 202]}^{[# 194]}
1934	C'est arrivé une nuit	1 000 000	325 000	^{[# 203]}^{[# 204]}
1935	La rébellion sur le Bounty	4 460 000	1 905 000	^{[# 194]}
1936	San Francisco	6 044 000+ (5 273 000)	1 300 000	^{[# 202]}^{[# 194]}
1937	Blanche-Neige et les sept nains	418 000 000+ (8 500 000)	1 488 423	^{[# 205]}^{[# 206]}
1938	Tu ne peux pas prendre avec toi	5 000 000	1 200 000	^{[# 207]}^{[# 208]}
1939	Emporté par le vent	402 352 579 (32 000 000)	3 900 000-4 250 000	^{[# 209]}^{[# 210]}^{[# 211]}
1940	Pinocchio	87 000 862 (3 500 000)	2 600 000	^{[# 212]}^{[# 206]}^{[# 213]}
1940	Ville bruyante	4 600 000	2 100 000	^{[# 214]}^{[# 215]}
1941	Sergent York	7 800 000	1,600,000	^{[# 216]}^{[# 217]}
1942	Bambi	267 997 843 (3 449 353)	1 700 000-2 000 000	^{[# 218]}^{[# 219]}^{[# 220]}
1942	Mme Miniver	8 878 000	1 344 000	^{[# 221]}^{[# 222]}
1943	Pour qui le Bell sonne	11 000 000	2 681 298	^{[# 223]}^{[# 224]}^{[# 225]}
1943	Ceci est une armée d'	9 555 586,44	1 400 000	^{[# 226]}^{[# 227]}^{[# 225]}
1944	Suis ton propre chemin	6 500 000	1 000 000	^{[# 228]}^{[# 229]}^{[# 230]}
1945	Mère et père	80 000 000/22 000 000	65 000	^{[# 231]}
1945	The Bells of St. Mary's	11 200 000	1,600,000	^{[# 232]}
1946	Chant du Sud	65 000 000 (3 300 000)	2 125 000	^{[# 233]}^{[# 234]}^{[# 235]}
	Les meilleures années de notre vie	14 750 000	2 100 000	^{[# 236]}^{[# 237]}
	Duel au soleil	10 000 000	5 255 000	^{[# 228]}^{[# 238]}
1947	Amber Forever	8 000 000	6 375 000	^{[# 185]}^{[# 238]}
1947	Invaincu	7 500 000	4 200 000	^{[# 239]}^{[# 240]}
1948	Parade de Pâques	5 918 134	2 500 000	^{[# 230]}^{[# 241]}
	souliers rouges	5 000 000	505 581 £	^{[# 228]}^{[# 242]}^{[# 243]}
	Fosse aux serpents	4 100 000	3 800 000	^{[# 244]}^{[# 245]}
1949	Samson et Delilah	14 209 250	3 097 563	^{[# 246]}^{[# 173]}
1950	Cendrillon	263 591 415 (20 000 000/7 800 000 )	2 200 000	^{[# 247]}^{[# 248]}^{[# 249]}
1950	Mines du roi Salomon	10 050 000	2 258 000	^{[# 250]}
1951	Camo Gryadshi	21 037 000 - 26 700 000	7 623 000	^{[# 246]}^{[# 251]}^{[# 252]}
1952	Ce film	50 000 000	1 000 000	^{[# 253]}^{[# 254]}
1952	Le plus grand spectacle du monde	18 350 000	3 873 946	^{[# 255]}^{[# 256]}^{[# 173]}
1953	Peter Pan	145 000 000	3.000.000-4.000.000	^{[# 257]}
1953	Envelopper	25 000 000-26 100 000	4 100 000	^{[# 258]}^{[# 259]}^{[# 252]}
1954	Fenêtre sur cour	24 500 000 (5 300 000)	1 000 000	^{[# 260]}^{[# 251]}
	lumière de Noël	26 000 050 (12 000 000)	3 800 000	^{[# 261]}^{[# 262]}^{[# 263]}
	20000 lies sous l'eau	25000134 (6800 000-8 000 000)	4 500 000 à 9 000 000	^{[# 264]}^{[# 265]}^{[# 228]}^{[# 266]}
1955	la belle et le Clochard	187 000 000 (6 500 000)	4 000 000	^{[# 267]}^{[# 228]}^{[# 268]}
	Sortie du film	21 millions	2 000 000	^{[# 269]}^{[# 270]}
	M. Roberts	9 900 000	2 400 000	^{[# 271]}
1956	Dix Commandements	90 066 230 (122 700 000/55 200 000 )	13,270,000	^{[# 173]}^{[# 272]}^{[# 273]}
1957	Pont sur la rivière Kwai	30 600 000	2 840 000	^{[# 273]}
1958	Pacifique Sud	30 000 000	5 610 000	^{[# 274]}
1959	Ben gour	90 000 000 (146 900 000/66 100 000 )	15 900 000	^{[# 275]}^{[# 276]}
1960	Swiss Family Robinson	30 000 000	4 000 000	^{[# 277]}
	Spartacus	60 000 000 (22 105 225)	10 284 014	^{[# 278]}^{[# 279]}
	Psycho	50 000 000+ (14 000 000)	800 000	^{[# 280]}
1961	101 Dalmatiens	215 880 014	3 600 000-4 000 000	^{[# 281]}^{[# 282]}^{[# 220]}
1961	West Side Story	105 000 000 (31 800 000)	7 000 000	^{[# 283]}^{[# 284]}
1962	Laurence d'Arabie	77 324 852 (69 995 385)	13 800 000	^{[# 285]}^{[# 286]}
	Comment l'Occident a été conquis	35 000 000	14,483,000	^{[# 287]}
	Le jour le plus long	33 200 000	8 600 000	^{[# 284]}^{[# 286]}
1963	Cléopâtre	40 300 000	31 115 000	^{[# 284]}^{[# 286]}
1963	De Russie avec amour	78 900 000/29 400 000 (12 500 000)	2 000 000	^{[# 288]}^{[# 289]}^{[# 290]}
1964	Ma belle dame	55 000 000	17 000 000	^{[# 291]}
	Le doigt d'or	124 900 000 (46 000 000)	3 000 000	^{[# 288]}^{[# 290]}
	Mary Poppins	44 000 000 à 50 000 000	5 200 000	^{[# 292]}^{[# 291]}
1965	Sons de musique	286 214 076 (114 600 000)	8 000 000	^{[# 293]}^{[# 284]}
1966	Bible	25 300 000	18 millions	^{[# 279]}
	Hawaï	34 562 222 (15 600 000)	15 000 000	^{[# 294]}^{[# 228]}
	Qui a peur de Virginia Woolf?	30 000 000 (14 500 000)	7 613 000	^{[# 295]}^{[# 228]}^{[# 296]}
1967	Le livre de la jungle	378 000 000 (23 800 000)	3 900 000-4 000 000	^{[# 267]}^{[# 297]}^{[# 298]}^{[# 220]}
1967	Diplômé	85 000 000	3 100 000	^{[# 299]}^{[# 300]}
1968	Space Odyssey 2001	141 000 000 à 190 000 000 ( 21 900 000 )	10 300 000	^{[# 301]}^{[# 284]}
1968	Fille drôle	80 000 000-1 000 000 000	8 800 000	^{[# 302]}^{[# 303]}
1969	Butch Cassidy et Sundance Kid	152 308 525 (37 100 000)	6 600 000	^{[# 304]}^{[# 284]}^{[# 300]}
1970	Histoire d'amour	80 000 000	2 260 000	^{[# 305]}^{[# 306]}
1970	L'aéroport	75 000 000	10 000 000	^{[# 307]}^{[# 308]}
1971	Liaison française	75 000 000	3 300 000	^{[# 185]}
	Violoniste sur le toit	49 400 000 (100 000 000/45 100 000 )	9 000 000	^{[# 309]}^{[# 310]}
	Des diamants pour toujours	116 000 000 (45 700 000)	7 200 000	^{[# 288]}^{[# 289]}
1972	Parrain	245 066 044-286 000 000 (127 600 000-142 000 000)	6 200 000	^{[# 311]}^{[# 310]}^{[# 312]}^{[# 313]}
1973	Exorciste	413 071 948 (110 000 000)	10 000 000	^{[# 314]}^{[# 315]}
1973	Arnaque	115 000 000	5 500 000	^{[# 316]}^{[# 317]}
1974	L'enfer au paradis	91 838 000	14,3 millions	^{[# 318]}^{[# 319]}^{[# 320]}^{[# 321]}
1974	Selles étincelantes	80 000 000+	2 600 000	^{[# 322]}^{[# 323]}
1975	Mâchoires	470 653 591 (193 700 000)	9 000 000	^{[# 324]}^{[# 325]}^{[# 326]}
1976	Rocheux	225 000 000 (77 100 000)	1 075 000	^{[# 327]}^{[# 310]}^{[# 328]}
1977	Guerres des étoiles	775 398 007 (530 000 000 ) / 268 500 000	11 293 151	^{[# 158]}^{[# 147]}^{[# 310]}^{[# 329]}
1978	Briolin	395 452 066 (341 000 000)	6 000 000	^{[# 330]}^{[# 331]}^{[# 299]}^{[# 332]}
1979	Coureur de lune	210 308 099	31 000 000	^{[# 333]}^{[# 288]}^{[# 334]}
1979	Rocky 2	200 182 289	7 000 000	^{[# 335]}^{[# 336]}^{[# 334]}
1980	L'Empire contre-attaque	547 879 454 (400 083 259)	23 000 000 à 32 000 000	^{[# 337]}^{[# 338]}
1981	Indiana Jones: Trouver l'arche perdue	390 133 212 (321 866 000 - 353 988 025)	18 millions	^{[# 339]}
1982	Extraterrestre	792 910 554 (619 000 000-664 000 000)	10 500 000-12 200 000	^{[# 146]}^{[# 147]}^{[# 340]}^{[# 341]}
1983	Le retour des Jedi	475 347 111 (374 593 074)	32 500 000 - 42 700 000	^{[# 342]}^{[# 338]}
1984	Indiana Jones et le Temple maudit	333 107 271	27 000 000-28 200 000	^{[# 343]}^{[# 344]}^{[# 345]}
1985	Retour vers le futur	388 355 305 (381 109 762)	19 000 000 à 22 000 000	^{[# 346]}^{[# 347]}
1986	Meilleur tireur	356 830 601 (345 000 000)	14 000 000 à 19 000 000	^{[# 348]}^{[# 349]}^{[# 344]}
1987	Attraction fatale	320 145 693	14 000 000	^{[# 350]}^{[# 344]}
1988	Homme de pluie	354 825 435	30 000 000	^{[# 351]}^{[# 352]}
1989	Indiana Jones et la dernière croisade	474 310 887 (474 171 806) - 494 000 000	36 000 000 à 55 400 000	^{[# 353]}^{[# 344]}^{[# 354]}
1990	Fantôme	505 706 694 (505 702 588)	22 000 000	^{[# 355]}^{[# 344]}
1991	Terminator 2: Doomsday	520 884 847 (516 950 043)	94 000 000	^{[# 356]}^{[# 357]}
1992	Aladdin	504 050 219	28 000 000	^{[# 358]}^{[# 220]}
1993	parc jurassique	1 030 314 141 (912 667 947)	63 000 000 - 70 000 000	^{[# 66]}
1994	Roi Lion	968 511 805 (763 455 561)	45 000 000 à 79 300 000	^{[# 82]}
1995	Histoire des jouets	406 594 102 (373 554 033)	30 000 000	^{[# 359]}^{[# 360]}
1996	le jour de l'indépendance	817 400 891	75 000 000	^{[# 134]}
1997	Titanesque	2 194 439 542 (1 850 197 130)	200 000 000	^{[# cinq]}
1998	Armageddon	553 709 788	140 000 000	^{[# 361]}^{[# 362]}
1999	Guerres des étoiles. Épisode I: La menace fantôme	1.027.082.707 (924.305.084)	115 000 000-127 500 000	^{[# 69]}^{[# 338]}
2000	Mission Impossible 2	546 388 105	100 000 000 à 125 000 000	^{[# 363]}^{[# 344]}
2001	Harry Potter à l'école des sorciers	978 087 613 (974 755 371)	125 000 000	^{[# 78]}
2002	Le Seigneur des anneaux: deux forteresses	927 600 630 (923 015 234)	94 000 000	^{[# 96]}
2003	Le Seigneur des anneaux: le retour du roi	1 120 424 614 (1 118 887 224)	94 000 000	^{[# 45]}
2004	Shrek 2	923 075 336	150 000 000	^{[# 98]}
2005	Harry Potter et la coupe de feu	896 346 229 (895 921 036)	150 000 000	^{[# 101]}^{[# 95]}
2006	Pirates des Caraïbes: Le coffre du mort	1.066.179.725	225 000 000	^{[# 58]}
2007	Pirates des Caraïbes: au bout du monde	960 996 492	300 000 000	^{[# 85]}
2008	Le Chevalier Noir	1 004 934 033 (1 003 045 358)	185 000 000	^{[# 76]}
2009	Avatar	2 789 958 507 (2 743 856 300)	237 millions	^{[# 3]}^{[# 364]}
2010	Toy Story: la grande évasion	1.066.969.703	200 000 000	^{[# 56]}
2011	Harry Potter et les Reliques de la Mort. Partie 2	1.341.932.398 (1.341.511.219)	250 millions	^{[# 23]}^{[# 365]}
2012	Avengers	1 518 812 988	220 millions	^{[# Quatorze]}
2013	Coeur froid	1.289.880.520 (1.287.616.376)	150 000 000	^{[# 28]}
2014	Les Transformers: L'âge de L'extinction	1 104 054 072	210 millions	^{[# 49]}
2015	Star Wars: The Force Awakens	2,068,223,624	245 000 000	^{[# 7]}
2016	Captain America: guerre civile	1,153,296,293	250 000 000	^{[# 37]}
2017	Star Wars: The Last Jedi	1 332 539 889	200 000 000	^{[# 25]}
2018	Avengers: Infinity War	2048 359 754	316 000 000 à 400 000 000	^{[# 9]}^{[# 366]}
2019	Avengers: Final	2 797 800 564	356 000 000	^{[# 1]}
2020	Les méchants pour toujours	419 074 646	90 000 000	^{[# 367]}

Entre parenthèses (...) les frais après la location d'origine sont indiqués, en dehors des parenthèses sont les frais généraux, en tenant compte de toutes les impressions; si la somme de toutes les impressions dépasse les honoraires du précédent leader de l'année, plusieurs films sont indiqués.

^* Frais aux États-Unis et au Canada seulement

^D Revenus de location des distributeurs.

^N Aucune source moderne ne cite de données sur l'intolérance, mais The Numbers indique un chiffre de 8 millions de dollars en Amérique du Nord ^[47] . Mais il est possible que ce chiffre ait été confondu avec un remake de 1954, « 20 000 lieues sous les mers », qui a également rapporté 8 millions de dollars au box-office en Amérique du Nord ^[48] .

^VN Certaines sources, dont The Numbers , affirment que le film le plus rentable de 1926 est Aloma of the South Seas, qui a rapporté 3 millions de dollars ^[49] . Mais aucune des sources modernes ne fournit de données sur ce film, il n'est donc pas clair à quoi se réfère le chiffre de 3 millions de dollars. S'il s'agit du box-office, Aloma n'est pas seulement le film le plus rentable de l'année, mais aussi l'un des films les plus rentables de l'histoire du cinéma muet, et si tel était le cas, ce serait contraire à l' International Motion Picture Almanac et Variety , qui n'a pas inclus le film sur la liste.

^CC Il est impossible de dire exactement pour quels territoires les données du film «On the Sunny Side» sont indiquées - uniquement pour l'Amérique du Nord ou le monde entier. D'autres sources estiment les frais en Amérique du Nord à 2 millions de dollars ^[50] , ce qui peut indiquer qu'un chiffre plus élevé correspond aux frais mondiaux, surtout si l'on tient compte de la confusion avec les indicateurs internationaux au cours de cette période ^[51] .

^{HE Les} données du film «Ça s'est passé une nuit» ne sont pas tout à fait correctes, car il a été vendu dans les cinémas dans un package avec plus de vingt films colombiens, leur revenu total était en moyenne entre chacun des films, de sorte que les vrais frais du film sont beaucoup plus élevés.

^B7 418 millions de dollars de Blanche-Neige et des Sept Nains ne comprennent pas de données sur la distribution internationale depuis 1987.

^ZV La trilogie originale de Star Wars n'inclut pas les revenus de l'édition 1997 de l'édition spéciale; cependant, ce montant comprend les revenus d'autres réimpressions.

^{GP Le} budget commun des deux parties des "Reliques de la Mort".

Chronologie des films les plus rentables

La naissance d'une nation, le film le plus rentable au moment de sa sortie, a été un pionnier dans de nombreuses méthodes utilisées dans la production cinématographique à ce jour.

Au moins dix films sont devenus le plus gros succès depuis que la bande " Naissance d'une nation " a commencé à être considérée comme telle en 1915. «Naissance d'une nation» et « Autant en emporte le vent » ont occupé le leadership pendant plus de 25 ans chacun. Les films tournés par Stephen Spielberg ont tenu le championnat à trois reprises, James Cameron - à deux reprises. En outre, le réalisateur a battu son propre record: en 1993, " Jurassic Park " a contourné " ET " et en 2010 " Avatar " - " Titanic ".

Certaines sources affirment que le " Grand Parade " a contourné les frais de "Naissance d'une nation" en 1925, puis il a été dépassé par " Blanche-Neige et les Sept Nains ", et déjà par ceux "Autant en emporte le vent" ^[52] . Les données exactes de la "Naissance d'une nation" sont inconnues, mais des sources modernes pour 1919 estiment son revenu mondial à 5,2 millions de dollars ^[53] . Sa distribution internationale a été retardée en raison de la Première Guerre mondiale , et jusqu'aux années 1920, elle n'a pas été publiée sur de nombreux marchés importants. Avec de nouvelles réimpressions aux États-Unis, Variety a estimé son revenu pour 1932 à 10 millions de dollars ^[54] . A cette époque, VarietyThe Birth of a Nation a toujours contourné le Big Parade (6,4 millions de dollars) pour la location par les distributeurs, et si l'estimation de la publication était correcte, alors Blanche-Neige (8,5 millions de dollars ^[55] ) n'aurait pas gagné assez pour sa première location de film afin de devenir le film le plus rentable ^[56] ; bien que le dessin animé soit déjà le film le plus rentable du son ^[57] , battant " The Singing Fool "(5,9 millions de dollars ^[58] ). Bien qu'il soit peu probable que le film "Naissance d'une nation" ait été dépassé par une image silencieuse ^[59] , il a gagné moins que " Ben-Hur: L'histoire du Christ " (9,4 millions de dollars), car les frais de billetterie de "Naissance d'une nation" sont estimés ^[60]. En plus des revenus de location liés à la projection du film dans les salles de cinéma, la Naissance d'une nation a participé à un grand nombre d'événements privés, dont les statistiques n'ont pas été conservées ^[61] . Le film était très populaire auprès du Ku Klux Klan , qui l'a utilisé pour sa propre popularisation ^[62] . En général, Variety a estimé le revenu de la bande à 50 millions de dollars ^[63] . Ce chiffre est répandu, mais n'a pas été confirmé ^[53] . Bien qu'il soit généralement admis que lorsque le film Autant en emporte le vent est sorti, il est devenu le plus gros revenu des frais de théâtre, ce qui est confirmé par les chiffres officiels, il est probable qu'il n'a pas dépassé la naissance de Nation dans les revenus totaux avant les années 1960 ^[61]. Il est également possible que Autant en emporte le vent, qui a gagné 59 millions de dollars ^[64] , ait été brièvement en avance sur la bande des Dix commandements , qui s'est terminée fin 1960 avec une caisse enregistreuse totale de 58 à 60 millions de dollars ^[65]^[66^].^] . Si cela est vrai, en tout cas, l'image n'a pas tenu le leadership longtemps, car Autant en emporte le vent a été réédité l'année suivante et a augmenté son box-office à 67 millions de dollars. Selon la précision des estimations, Ben-Hur (1959) pourrait également être en tête de liste: fin 1961, il avait gagné 47 millions de dollars dans le monde ^[67] , et en 1963, il était à la traîne Autant en emporte le vent "Seulement 2 millions de dollars avec des revenus internationaux de 65 millions de dollars ^[68]qui a finalement rapporté 66 millions de dollars depuis la première ^[69] .

Selon les données officielles du distributeur, le film pornographique de 1972 "Deep Throat" a collecté plus de 600 millions de dollars, mais selon certains rapports, ce montant a été intentionnellement augmenté dans le but de blanchir l'argent des gangsters américains.

Une autre bande qui est censée devenir le plus d'argent - est un film porno " Deep Throat ". En 1984, vedette Linda Lovelace a témoigné que le film a gagné 600 millions de dollars ^[70] ; ce chiffre a fait l'objet de nombreuses spéculations, car s'il était exact, le film aurait gagné plus d'argent que Star Wars et, à la fin des années 1970, serait devenu le plus gros succès. Le principal argument contre ce chiffre est qu'il n'avait tout simplement pas assez de loyer pour gagner autant d'argent pour finalement percevoir ce montant ^[71]. Les données exactes ne sont pas connues, mais des témoignages devant la Cour fédérale en 1976, environ quatre ans après la sortie du film, ont montré que le film avait rapporté plus de 25 millions de dollars ^[72] . Roger Ebert a estimé que selon les documents, le film a vraiment gagné 600 millions, car à cette époque, les gangsters possédaient la plupart des cinémas pour adultes et blanchissaient les produits de la drogue et de la prostitution à travers eux, gonflant délibérément le box-office ^[73] .

Naissance d'une nation, Autant en emporte le vent, Le Parrain, Jaws, Star Wars, Alien et Avatar ont amélioré leurs records grâce à des rééditions. Les frais de leur affichage initial s'ajoutent aux collections de réimpressions jusqu'à ce qu'ils détiennent la tête. Ainsi, les données de «Naissance d'une nation» incluent les revenus des réimpressions jusqu'en 1940, «Star Wars» des réimpressions de la fin des années 1970 et du début des années 1980, mais n'incluent pas l'écran spécial de 1997 et «Alien» - à partir de la réédition de 1985, mais sans 2002, car au moment de la réédition les enregistrements des cassettes ont été battus, et même en tenant compte des locations répétées, ils n'ont pas pu reprendre le leadership. Avatar, qui détient la tête de 2010 à 2019, comprend actuellement les revenus de toutes les impressions jamais tenues. Autant en emporte le vent est présenté dans le tableau deux fois,depuis que le film a perdu le titre de The Sound of Music en 1966, le record de 1971 comprend les revenus des réimpressions en 1967 et 1971, mais ne tient pas compte des revenus supplémentaires. En 1973, après le succès de45e cérémonie de remise des OscarsLe Parrain a été réédité, Jaws en 1976, et les montants indiqués incluent très probablement les revenus de ces sorties. Sounds of Music, The Godfather, Jaws, Jurassic Park et Titanic ont également augmenté leurs revenus dans les versions futures en 1973, 1997, 1979, 2013 et 2012, respectivement, mais ils ne sont pas inclus dans le total , car au moment de la réédition, ils avaient déjà perdu leur primauté dans la liste. Le leader actuel d'Avengers: Final, lors de la distribution principale, a sorti une version étendue du film en Amérique du Nord et dans plusieurs autres pays, cependant, toutes les informations pour le film sont indiquées dans leur intégralité, car formellement, seules des salles supplémentaires ont été ajoutées à la bande. Cependant, dans un certain nombre de pays, dont la Russie et la Chine, la location du film était complètement terminée à ce moment-là, tous les revenus de ces territoires sont inclus dans le box-office général du film,que la location mondiale de l'image a continué.

Chronologie des films les plus rentables
Période	Nom	Frais record	Remarque
1915 ^[52]	Naissance d'une nation	5 200 000	^{[# 161]}
1940	Naissance d'une nation	15 000 000	^{[# 368]}
1940 ^[74]	Emporté par le vent	32 000 000	^{[# 210]}
1963	Emporté par le vent	67 000 000	^{[# 369]}
1966 ^[52]	Sons de musique	114 600 000	^{[# 284]}
1971 ^[52]	Emporté par le vent	116 000 000	^{[# 370]}
1972 ^[52]	Parrain	127,600,000-142,000,000	^{[# 310]}^{[# 371]}
1976 ^[75]^[76]	Mâchoires	193 700 000	^{[# 325]}
1978 ^[77]^[78]	Guerres des étoiles	410 000 000/268 500 000	^{[# 372]}^{[# 310]}
1982	Guerres des étoiles	530 000 000	^{[# 147]}
1983 ^[79]	Extraterrestre	619 000 000-664 000 000	^{[# 147]}^{[# 340]}
1993	Extraterrestre	701 000 000	^{[# 373]}
1993 ^[52]	parc jurassique	912 667 947	^{[# 66]}
1998 ^[80]	Titanesque	1 850 197 130	^{[# cinq]}
2010 ^[81]^[82]	Avatar	2 744 336 793	^{[# 3]}
2010 ^[81]^[82]	Avatar	2 790 439 000	^{[# 3]}
2019 ^[83]^[84]	Avengers: Final	2 797 800 564	^{[# 1]}

^D Revenus de location des distributeurs.

^‡ Y compris les revenus de réimpressions. Si le film, tout en conservant une position, a augmenté les frais en raison de la réimpression, l'année au cours de laquelle il a mis à jour le résultat est indiquée en italique.

Franchises et séries cinématographiques les plus rentables

James Bond est la première série de films de l'histoire à totaliser plus d'un milliard de dollars dans le monde.

Jusqu'en 2000, seules sept séries de films ont rapporté plus d'un milliard de dollars au box-office: " James Bond " ^[85] , " Star Wars " ^[86] , " Indiana Jones " ^[87] " Rocky " ^[88]^[89]^{[90 ]} , « Batman » ^[91] , « Jurassic Park » ^[92] et « Star Trek » ^[93] . Depuis le début du siècle, ce nombre est passé à cinquante (sans compter les hits uniques comme Avatar ou Titanic ) ^[94]. Cela est dû en partie à l'inflation et à la croissance du marché, ainsi qu'au développement du modèle de franchise hollywoodien - des films qui ont une marque reconnaissable intégrée (par exemple, basée sur une œuvre littéraire ou un personnage célèbre). Le concept, dans lequel les téléspectateurs connaissent déjà certains détails de l'image, vous permet de prévoir le nombre de billets vendus ^[95] .

Traditionnellement, la franchise cinématographique combine différentes marques, bien que ce ne soit pas une condition préalable. La base invariable de son modèle est le concept d'un croisement, qui peut être défini comme «une histoire dans laquelle des personnages de deux ou plusieurs mondes distincts se rencontrent» ^[96] . La conséquence de l'intersection est qu'une marque peut être utilisée par plus d'une franchise de cinéma. Par exemple, « Batman contre Superman: à l'aube de la justice » appartient non seulement à la série Batman et Superman , mais aussi à l'univers étendu DC , qui est un univers commun. Un univers partagé est un type spécial de croisement dans lequel de nombreux personnages d'un large éventail d'œuvres se retrouvent dans le même monde fictif ^[97]. L' univers cinématographique Marvel , dans lequel de nombreux héros appartenant à Marvel Comics se croisent, est considéré comme l'univers partagé le plus réussi du cinéma , il est également la franchise la plus rentable avec des frais dépassant 22,5 milliards de dollars.

L'univers cinématographique Marvel est la franchise de films la plus rentable de notre temps.

Star Wars est la série la plus rentable basée sur l'œuvre originale, au total, ils ont gagné plus de 10 milliards de dollars (si vous ne tenez pas compte du James Bond, qui a gagné 14 milliards de dollars, compte tenu de l'inflation ^[98] ). Si vous incluez les revenus auxiliaires des marchandises, alors Star Wars est la marque la plus rentable ^[99] : ils détiennent le record mondial Guinness de «la franchise la plus réussie de la production cinématographique» et sont estimés à 19,51 milliards de livres sterling en 2012 (environ 30 milliards de dollars ) ^[100]^[101]. L'univers cinématographique Marvel comprend actuellement neuf films qui ont rapporté plus d'un milliard de dollars. En outre, quatre films sur Avengers - la première série de films dans laquelle chaque film a recueilli plus d'un milliard de dollars, à l'heure actuelle, la dilogie Cold Heart revendique le même résultat, et les franchises Star Wars, Pirates des Caraïbes et Park Jurassic period »,« Finding Nemo »et« The Lion King », les films sur Harry Potter et l'adaptation de« Middle-earth »par Peter Jackson dépassent en moyenne 1 milliard de dollars, compte tenu de l'inflation ^[95]^[102] .

Couleur de l'arrière plan fait référence à une série dont les films sont en distribution.

Franchises et séries de films les plus rentables ^[§]
Non.	Séries	Frais généraux	Nombre de films	En moyenne par film	Film le plus rentable de la série
1	Univers cinématographique Marvel	22 585 212 034	23	981 965 741	Avengers: Final	2 797 800 564
2	Guerres des étoiles	10 317 466 014	12	859 788 835	Star Wars: The Force Awakens	2,068,223,624
3	Le monde magique de J.K. Rowling	9 193 292 403	Dix	919 329 240	Harry Potter et les Reliques de la Mort. Partie 2	1 341 932 398
4	Avengers	7 767 779 174	4	1 941 944 794	Avengers: Final	2 797 800 564
cinq	Homme araignée	7 210 296 891	neuf	801 144 099	Spider-Man: loin de chez soi	1,131,927,996
6	James Bond	7 050 652 794	26	271 178 954	007: Coordonnées Skyfall	1 108 561 013
7	Homme chauve-souris	6 066 484 606	seize	379 134 144	Le chevalier noir: la renaissance de la légende	1.081.041.287
8	X Men	6 032 918 175	12	502 743 181	Deadpool 2	785 046 920
neuf	Rapide et furieux	5 890 154 977	neuf	654,461,664	rapide et furieux 7	1 515 047 671
Dix	Terre du Milieu	5 882 378 791	7	840 339 827	Le Seigneur des anneaux: le retour du roi	1 120 424 614
Onze	Univers DC étendu	5 482 890 562	8	685 023 820	Aquaman	1 148 161 807
12	parc jurassique	4 996 602 530	cinq	999 320 506	Jurassic World	1 670 400 637
13	Transformers	4 853 745 670	8	606 718 209	Transformers 3: Le côté obscur de la lune	1 123 794 079
Quatorze	pirates des Caraïbes	4,522,015,828	cinq	904 403 166	Pirates des Caraïbes: Le coffre du mort	1.066.179.725
15	Un moi méprisable	3 708 077 796	4	927 018 419	Minions	1,159,398,397
seize	mission impossible	3 570 512 034	6	595 085 339	Mission impossible: conséquences	791 115 104
17	Shrek	3 519 511 039	cinq	703 902 208	Shrek 2	923 075 336
18	Twilight	3 345 317 687	cinq	669 063 537	Crépuscule. Saga: Dawn - Partie 2	829 746 820
dix-neuf	période glaciaire	3,222,804,303	cinq	644 560 861	L'Âge de glace 3: L'aube des dinosaures	886 686 817
20	Histoire des jouets	3 055 751 667	4	763 937 917	Toy Story 4	1.073.394.593
21	The Hunger Games	2 968 191 442	4	742 047 861	Hunger Games: L'Embrasement	865 011 746
22	Cold Heart	2 739 907 453	2	1 369 953 727	Congelé 2	1 450 026 933
23	Le Roi Lion	2 625 455 199	2	1 312 727 600	Roi Lion	1 656 943 394
24	Superman	2 554 837 548	neuf	283 870 839	Batman vs Superman	873 634 919
25	homme de fer	2 424 110 830	3	808 036 943	Iron Man 3	1 214 811 252

Notes

↑ Afficher de manière compacte

↑ Retourner: ¹ ² Zachary Pincus Roth. Ne sont pas les films uniquement des monstres BO (Eng.) . Variété (8 janvier 2006). Date du traitement 16 décembre 2018.
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↑ Hall et Neale, 2010 , pp. 6 - 7 . «Pour des raisons de responsabilité similaires, Variety utilise généralement des chiffres pour les revenus nationaux (américains et canadiens) plutôt que mondiaux. C'est devenu sa politique standard en 1940, lorsque l'avènement de la guerre en Europe a persuadé l'industrie cinématographique américaine (temporairement, comme il s'est avéré) qu'elle devrait être entièrement dépendante du marché intérieur pour la rentabilité. Lorsque des données spécifiques sur les loyers sont rapportées dans Variety avant cela (qui avaient tendance à n'être que sporadiques), elles concernaient souvent des performances mondiales plutôt que nationales. Ce fut aussi le cas avec d' autres sources commerciales, comme Quigley de » annuel Motion Picture Almanac, qui a publié ses propres listes de succès absolus à partir du début des années 1930. "La confusion qui a suivi entre les chiffres nationaux et mondiaux, ainsi que les chiffres de location et de billetterie, a tourmenté de nombreux récits publiés de l'histoire d'Hollywood (y compris parfois ceux de Variety elle-même), et nous avons tenté d'être diligents pour clarifier les différences entre eux."
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Harry Potter et les reliques de la mort. Partie 2
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- : p. 112. «What Price Glory hit the jackpot with massive world rentals of $2,429,000, the highest figure in the history of the company. Since it was also the most expensive production of the year at $817,000 the profit was still a healthy $796,000…»
- : p. 170. «The actual cost of Cavalcade was $1,116,000 and it was most definitely not guaranteed a success. In fact, if its foreign grosses followed the usual 40 percent of domestic returns, the film would have lost money. In a turnaround, the foreign gross was almost double the $1,000,000 domestic take to reach total world rentals of $3,000,000 and Fox’s largest profit of the year at $664,000.»
- : p. 170. «State Fair did turn out to be a substantial hit with the help of Janet Gaynor boosting Will Rogers back to the level of money-making star. Its prestige engagements helped raked in a total $1,208,000 in domestic rentals. Surprisingly, in foreign countries unfamiliar with state fairs, it still earned a respectable $429,000. With its total rentals, the film ended up showing a $398,000 profit.»
↑ Hall & Neale, 2010, p. 53. «The Four Forsemen of the Apocalypse was to become Metro’s most expensive production and one of the decade’s biggest box-office hits. Its production costs have been estimated at „something between $600,000 and $800,000.“ Variety estimated its worldwide gross at $4 million in 1925 and at $5 million in 1944; in 1991, it estimated its cumulative domestic rentals at $3,800,000.»
↑ Brownlow, Kevin. The parade's gone by. — , 1968. — . 255. — ISBN 978-0-520-03068-8.. — «The negative cost was about $986,000, which did not include Fairbanks' own salary. Once the exploitation and release prints were taken into account, Robin Hood cost about $1,400,000—exceeding both Intolerance ($700,000) and the celebrated "million dollar movie" Foolish Wives. But it earned $2,500,000.».
↑ Vance, Jeffrey. Douglas Fairbanks. — , 2008. — . 146. — ISBN 9780520256675.. — «The film had a production cost of $930,042.78—more than the cost of D.W. Griffith's Intolerance and nearly as much as Erich von Stroheim's Foolish Wives (1922).».
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- ch. 68. Samson and Delilah. «Cost: $3,097,563.05»
- ch. 69. The Greatest Show on Earth. «Cost: $3,873,946.50; Gross receipts: $15,797,396.36 (29 1962)»
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↑ Hall & Neale, 2010, pp. 58–59. «Even then, at a time when the budget for a feature averaged at around $300,000, no more than $382,000 was spent on production…According to the Eddie Mannix Ledger at MGM, it grossed $4,990,000 domestically and $1,141,000 abroad.»
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↑ Hall & Neale, 2010, p. 163. "MGM's silent Ben-Hur, which opened at the end of 1925, had out-grossed all the other pictures released by the company in 1926 combined. With worldwide rentals of $9,386,000 on first release it was, with the sole possible exception of The Birth of a Nation, the highest-earning film of the entire silent era. (At a negative cost of $3,967,000, it was also the most expensive.)"
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↑ Finler, 2003, p. 188. «At a cost of $2 million Wings was the studio’s most expensive movie of the decade, and though it did well it was not good enough to earn a profit.»
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- The Singing Fool: p. 12. «Ego aside, Jolson was at the top of his powers in The Singing Fool. The $150,000 Warner Bros. paid him to make it, and the $388,000 it took to produce the film, were drops in the hat next to the film’s world gross of $5.9 million. Its $3.8-million gross in this country set a box-office record that would not be surpassed until Walt Disney’s Snow White and the Seven Dwarfs (1937).»
- The Broadway Melody: p. 24. «The Broadway Melody with a negative cost of $379,000, grossed $2.8 million in the United States, $4.8 million worldwide, and made a recorded profit of $1.6 million for MGM.»
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- The French Connection
p. 167. «The Planet of the Apes motion pictures were all moneymakers and Zanuck’s record would have immediately improved had he stayed through the release of The French Connection, which took in rentals of approximately $75 million worldwide.»

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- ': p. 182. «Produced by Winfield Sheehan at a cost of $1.25 million, Cavalcade won Academy Awards for best picture, director, art direction and grossed close to $4 million during its first release, much of which came from Great Britain and the Empire.»
- : p. 212. «Produced by Sam Goldwyn at a cost of $1 million, the picture was an adaptation of a smash musical comedy built around Eddie Cantor…A personality-centered musical, Whoopee! made little attempt to integrate the comedy routines, songs, and story. Nonetheless, Cantor’s feature-film debut grossed over $2.6 million worldwide and started a popular series that included Palmy Days (1931), The Kid from Spain (1932), and Roman Scandals (1933).»
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Hell’s Angels
- Balio, Tino. United Artists: The Company Built by the Stars (.). — , 1976. — P. 110.. — «Hughes did not have the "Midas touch" the trade press so often attributed to him. Variety, for example, reported that Hell's Angels cost $3.2 million to make, and by July, 1931, eight months after its release, the production cost had nearly been paid off. Keats claimed the picture cost $4 million to make and that it earned twice that much within twenty years. The production cost estimate is probably correct. Hughes worked on the picture for over two years, shooting it first as a silent and then as a talkie. Lewis Milestone said that in between Hughes experimented with shooting it in color as well. But Variety's earnings report must be the fabrication of a delirious publicity agent, and Keats' the working of a myth maker. During the seven years it was in United Artists distribution, Hell's Angels grossed $1.6 million in the domestic market, of which Hughes' share was $1.2 million. Whatever the foreign gross was, it seems unlikely that it was great enough to earn a profit for the picture.}}
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↑ Vance, Jeffrey. Chaplin: genius of the cinema. — Abrams Books, 2003. — . 208.. — «Chaplin's negative cost for City Lights was $1,607,351. The film eventually earned him a worldwide profit of $5 million ($2 million domestically and $3 million in foreign distribution), an enormous sum of money for the time.».
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- : Production Cost $000s: 700; Distribution Cost $000s: 947; US box-office $000s: 1,235; Foreign box-office $000s: 1,359; Total box-office $000s: 2,594; Profit $000s: 947.
- : Production Cost $000s: 1,605; Distribution Cost $000s: 1,116; US box-office $000s: 861; Foreign box-office $000s: 1,747; Total box-office $000s: 2,608; Profit $000s: −113.
- , !: Production Cost $000s: 1,022; Distribution Cost $000s: 766; US box-office $000s: 941; Foreign box-office $000s: 934; Total box-office $000s: 1,875; Profit $000s: 87.
- «»: Production Cost $000s: 1,905; Distribution Cost $000s: 1,646; US box-office $000s: 2,250; Foreign box-office $000s: 2,210; Total box-office $000s: 4,460; Profit $000s: 909.
- -: Production Cost $000s: 1,300; Distribution Cost $000s: 1,736; US box-office $000s: 2,868; Foreign box-office $000s: 2,405; Total box-office $000s: 5,273; Profit $000s: 2,237.
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Shanghai Express
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King Kong
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↑ Finler, 2003, p. 188. «The studio released its most profitable pictures of the decade in 1933, She Done Him Wrong and I’m No Angel, written by and starring Mae West. Produced at a rock-bottom cost of $200,000 each, they undoubtedly helped Paramount through the worst patch in its history…»
↑ Block, Alex Ben (2010), She Done Him Wrong, . 173 In: Block & Wilson, 2010.
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- -: p. 364 Cost: $1,300,000. Earnings: domestic $2,868,000; foreign $2,405,000; total $5,273,000. Profit: $2,237,000. [Reissues in 1938-39 and 1948-49 brought profits of $124,000 and $647,000 respectively.]
↑ McBride, Joseph. Frank Capra: The Catastrophe of Success. — , 2011. — . 309. — ISBN 9781604738384.. — «According to the studio's books It Happened One Night brought in $1 million in film rentals during its initial release, but as Joe Walker pointed out, the figure would have been much larger if the film had not been sold to theaters on a block-booking basis in a package with more than two dozen lesser Columbia films, and the total rentals of the package spread among them all, as was customary in that era, since it minimized the risk and allowed the major studios to dominate the marketplace.».
↑ Dick, Bernard F. Claudette Colbert: She Walked in Beauty. — , 2008. — . 79. — ISBN 9781604730876.. — «Although Columbia's president, Harry Cohn, had strong reservations about It Happened One Night, he also knew that it would not bankrupt the studio; the rights were only $5,000, and the budget was set at $325,000, including the performers' salaries.».
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Snow White and the Seven Dwarfs
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- The Permanence and Care of Color Photographs: Traditional and Digital Color Prints, Color Negatives, Slides, and Motion Pictures (.). — Preservation Pub, 1993. — P. 359. — ISBN 978-0911515008.. — «In only 2 months after the 1987 re-release, the film grossed another $45 million—giving it a total gross to date of about $375 million!».
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Snow White and the Seven Dwarfs and Pinocchio
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p. 207. «When the budget rose from $250,000 to $1,488,423 he even mortgaged his own home and automobile. Disney had bet more than his company on the success of Snow White.»

p. 237. «By the end of 1938, it had grossed more than $8 million in worldwide rentals and was ranked at the time as the second-highest-grossing film after the 1925 epic Ben-Hur».

p. 255. «On its initial release Pinocchio brought in only $1.6 million in domestic rentals (compared with Snow Whités $4.2 million) and $1.9 million in foreign rentals (compared with Snow Whités $4.3 million).»
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Hall & Neale, 2010, p. 136–139
- : «…the film became the highest grosser in the studio’s history to date, with domestic rentals of $7,976,730 by 1955 and a further $6,232,520 overseas…For all their spectacle, Samson and David were quite economically produced, costing $3,097,563 and $2,170,000 respectively.»
- : «Production costs totaled a record $7,623,000…Worldwide rentals totaled $21,037,000, almost half of which came from the foreign market.»
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- : p. 15. «MGM’s most expensive film of the period, Quo Vadis (1951) also did extremely well. The cost was $7,623,000, earnings were an estimated $21.2 million (with foreign earnings almost 50 percent of this total), and profit was estimated at $5,562,000.»
- : pp. 203-204. «Rear Window (1954) was an excellent commercial success, with a cost of $1 million and North American rentals of $5.3 million.»
↑ : ¹ ²
Block & Wilson, 2010, p. 335.
- : « : $16.7; : $9.4; : $4.1 (Unadjusted $s in Millions of $s).»
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↑ Hall & Neale, 2010, p. 147–148. «To take full advantage of CinemaScope’s panoramic possibilities, shooting was delayed for the sets to be redesigned and rebuilt, adding $500,000 to the eventual $4.1 million budget…It ultimately returned domestic rentals of $17.5 million and $25 million worldwide, placing it second only to Gone with the Wind in Varietýs annually updated chart.»
↑ Block & Wilson, 2010, p. 367. «It brought in $16.7 million in domestic rentals, $9.4 million in foreign rentals, and made a net profit of $8.1 million.»
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↑ Hall & Neale, 2010, p. 149. «VistaVision was first used for the musical White Christmas (1954), which Variety named the top grosser of its year with anticipated domestic rentals of $12 million.»
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- Burns, Douglas (2010), Mister Roberts, . 383
↑ Block & Wilson, 2010, p. 327. «Production cost: $13.3 million; Domestic Film Rental: $31.3; Foreign Film Rental: $23.9; Worldwide Box office (estimated): $122.7 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
↑ : ¹ ²
Hall & Neale, 2010, pp. 159–161
- : «No film did more to entrench roadshow policy than The Ten Commandments. While the success of This Is Cinerama, The Robe, and even Eighty Days could be attributed, at least in part, to their respective photographic and projection formats, that of DeMille’s film (which cost a record $13,266,491) could not…General release began at normal prices in 1959 and continued until the end of the following year, when the film was temporarily withdrawn (the first of several reissues came in 1966). The worldwide rental by this time was around $60 million. In the domestic market it dislodged Gone with the Wind from the number one position on Variety’s list of All-Time Rentals Champs. GWTW had hitherto maintained its lead through several reissues (and was soon to regain it through another in 1961).»
- : Columbia’s Anglo-American war film The Bridge on the River Kwai (1957) opened on a roadshow basis in selected U.S. cities (including New York, Chicago, Boston, and Los Angeles) and in London. Costing only $2,840,000 to produce, it grossed $30.6 million worldwide on first release."
↑ Hall & Neale, 2010, p. 153. «South Pacific also became for a time the most successful film ever released in the United Kingdom, where it earned a box-office gross three times its negative cost of $5,610,000. Anticipated global rentals after three years were $30 million.»
↑ Ross, Steven J. Hollywood Left and Right: How Movie Stars Shaped American Politics (.). — , 2011. — P. 278–279. — ISBN 9780199911431.. — «Costing $15 million to produce, the film earned $47 million by the end of 1961 and $90 million worldwide by January 1989.».
↑ Block & Wilson, 2010, p. 324. «Worldwide box office: $146.9 million; Worldwide rentals: $66.1 million; Production cost: $15.9 million. (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s)»
↑ Reid, John Howard. America's Best, Britain's Finest: A Survey of Mixed Movies (.). — Lulu, 2006. — Vol. Volume 14 of Hollywood classics. — P. 243–245. — ISBN 9781411678774.. — «Negative cost: around $4 million; Worldwide film rentals gross (including 1968 American reissue) to 1970: $30 million.».
↑ Webster, Patrick. Love and Death in Kubrick: A Critical Study of the Films from Lolita Through Eyes Wide Shut (.). — McFarland & Company, 2010. — P. 298 (note 2.23). — ISBN 9780786459162.. — «Spartacus cost $12 million and grossed some $60 million at the box office, figures Kubrick rarely again matched.».
↑ : ¹ ²
Hall & Neale, 2010, p. 179.
- : «In the case of Spartacus, overseas earnings to 1969 amounted to $12,462,044, while U.S. and Canadian rentals (even including a million-dollar TV sale) were only $10,643,181. But the film failed to show a profit on production costs of $10,284,014 because of the distribution charges and expenses amounting to an additional $15,308,083.»
- : «The Bible—In the Beginning… (1966) was financed by the Italian producer Dino De Laurentiis from private investors and Swiss banks. He then sold distribution rights outside Italy jointly to Fox and Seven Arts for $15 million (70 percent of which came from Fox), thereby recouping the bulk of his $18 million investment. Although The Bible returned a respectable world rental of $25.3 million, Fox was still left with a net loss of just over $1.5 million. It was the last biblical epic to be released by any major Hollywood studio for nearly twenty years.»
↑ Nixon, Rob Psycho (1960) – Articles (.). Turner Classic Movies. 9 2012.
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Block & Wilson, 2010, p. 434.
- : « : $68.4; : $46.2; : $8.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- : « : $20.1; : $11.2; : $5.4 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- 2001 : « : $16.4; Foreign Rentals: $5.5; : $10.3 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- : « : $22.1; : $18.2; : $44.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- : « : $16.2; : $15.6; : $7.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- : « : $13.9; : $19.3; : $8.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
- : « : $29.2; : $7.9; : $6.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»
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- 1962: Lawrence of Arabia (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. — «Worldwide Box Office: $69,995,385; International Box Office: $32,500,000». 15 2011.
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↑ : ¹ ² ³
Hall & Neale, 2010, p. 165–166
- : Columbia released the $13.8 million Lawrence of Arabia (1962), filmed in Super Panavision 70, exclusively on a hard-ticket basis, but opened Barabbas (1962), The Cardinal (1963), and the $12 million Joseph Conrad adaptation Lord Jim (1965) as 70mm roadshows in selected territories only."
- : «Darryl’s most ambitious independent production was The Longest Day (1962), a three-hour reconstruction of D-Day filmed in black-and-white CinemaScope at a cost of $8 million. It grossed over $30 million worldwide as a roadshow followed by general release, thereby helping the studio regain stability during its period of reorganization.»
- : «With top tickets set at an all-time high of $5.50,Cleopatra had amassed as much as $20 million in such guarantees from exhibitors even before its premiere. Fox claimed the film had cost in total $44 million, of which $31,115,000 represented the direct negative cost and the rest distribution, print and advertising expenses. (These figures excluded the more than $5 million spent on the production’s abortive British shoot in 1960-61, prior to its relocation to Italy.) By 1966 worldwide rentals had reached $38,042,000 including $23.5 million from the United States.»
↑ Hall & Neale, 2010, p. 164. «West cost $14,483,000; although it earned $35 million worldwide in just under three years, with ultimate domestic rentals totaling $20,932,883, high distribution costs severely limited its profitability.»
↑ : ¹ ² ³ ⁴
Block & Wilson, 2010, pp. 428–429
- : « : 78,9; : 2 $»
- : « : 124.9; : 3 $»
- : « : 116; : 7,2 $»
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Chapman, James. Licence to thrill: a cultural history of the James Bond films (.). — I.B. Tauris, 2007. — ISBN 978-1-84511-515-9.
- : «The American release of From Russia With Love again followed on some six months after it had been shown in Britain. North American rentals of $9.9 million were an improvement on its predecessor, helped by a slightly wider release, though they were still only half the $19.5 million of foreign rentals… (Online copy at Google Books)»
- : «Diamonds Are Forever marked a return to the box-office heights of the Bond films of the mid-1960s. Its worldwide rentals were $45.7 million…»:Page needed
- : «These figures were surpassed by Moonraker, which earned total worldwide rentals of $87.7 million, of which $33 million came from North America. (Online copy at Google Books)»
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Balio, Tino. United Artists, Volume 2, 1951–1978: the Company that Changed the Film Industry (.). — , 2009. — P. 261. — ISBN 978-0-299-23014-2.
- : «The picture grossed twice as much as Dr. No, both domestic and foreign—$12.5 million worldwide (Online copy at Google Books)»
- : «Produced on a budget of around $3 million, Goldfinger grossed a phenomenal $46 million worldwide the first time around. (Online copy at Google Books)»
↑ : ¹ ²
Hall & Neale, 2010, p. 184
- : «My Fair Lady (1964) cost Warners $17 million to make, including a record $5.5 million just for the film rights to the Alan Jay Lerner and Frederick Loewe stage show and a million-dollar fee for star Audrey Hepburn. By 1967 it was reported to have grossed $55 million from roadshowing worldwide.»
- ': «Mary Poppins (1964), which cost $5.2 million, was neither a stage adaptation nor a roadshow. But by the end of its first release, it had grossed nearly $50 million worldwide.»
↑ Burns, Douglas (2010), Mary Poppins, . 469 In: Block & Wilson, 2010.
↑ (.). Box office. 29 2016.
↑ Hawaii (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. 18 2011.
↑ Who's Afraid of Virginia Woolf? (.). Box office. 29 2016.
↑ Hall & Neale, 2010, p. 188. «The negative cost of Warners' adaptation of Edward Albee’s play Who’s Afraid of Virginia Woolf? (1966)—filmed in widescreen and black-and-white, largely set in domestic interiors and with a cast of only four principal actors—amounted to $7,613,000, in part because stars Elizabeth Taylor and Richard Burton received up-front fees of $1 million and $750,000 respectively, against 10 percent of the gross apiece. (Their participation was presumably added to the budget).»
↑ Animals Portray Parts in Disney's "Robin Hood" (18 1970). «"The Jungle Book," in it's [sic] initial world-wide release, has grossed $23.8 million to date...».
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- : p. 167. «World net rental was estimated at more than $85 million by January 1971.»
- : p. 236. «The film was produced for $6 million and Paramount reportedly spent another $3 million on promotion.»
↑ : ¹ ²
Hall & Neale, 2010, p. 191–192
- : «The Graduate eventually earned U.S. rentals of $44,090,729 on a production cost of $3.1 million to become the most lucrative non-roadshow picture (and independent release) to date.»
- : «None of these films was roadshown in the United States; most were set in contemporary America or had a contemporary „take“ on the past (the casting of genuine teenagers to play Romeo and Juliet, the urbane sophistication of the dialogue in Butch Cassidy, the antiauthoritarianism of Bonnie and Clyde and MASH); most were produced on modest or medium-sized budgets (as low as $450,000 for Easy Rider and no higher than $6,825,000 for Butch Cassidy); and all grossed upward of $10 million domestically.»
↑
2001: A Space Odyssey
- : Miller, Frank 2001: A Space Odyssey (1968) – Articles (.). Turner Classic Movies. — «2001: A Space Odyssey made $15 million on its initial U.S. release, and currently shows a worldwide gross of over $190 million.». 24 2011.
- 2006: Palmer, R. Barton. 2001: The Critical Reception and the Generation Gap // Stanley Kubrick's 2001: a Space Odyssey: New Essays (.) / Kolker, Robert Phillip. — , 2006. — P. 16. — ISBN 9780195174526.. — «With its initial and subsequent releases, domestic and worldwide, Kubrick's arty, intellectual film earned nearly $138 million, which was, at that time, an astounding figure.».
- 2013: 2001: A Space Odyssey (2013 re-release) (.). Box Office Mojo. — «Domestic Total Gross: $214,618; United Kingdom: $568,997». 26 2018.
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- 2018: 2001: A Space Odyssey (2018 re-release) (.). Box Office Mojo. — «Domestic Total Gross: $1,283,820; Australia: $192,457; Greece: $27,510; Netherlands: $159,068; New Zealand: $5,046; Russia: $155,841; United Kingdom: $296,525». 26 2018.
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Butch Cassidy and the Sundance Kid
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↑ 'Love Story' II: Ryan Redux?, New York Media, . 389. «Bring those handkerchiefs out of retirement. ... After all, the first movie made around $80 million worldwide.».
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↑ Scott, Vernon. "Airports" Flourish, The Bryan Times (30 1979), . 10.
↑ Block & Wilson, 2010, p. 541. «Screenwriter and director George Seaton was given a then-whopping production budget of $10 million to make what would be his last big movie after a long career as an actor in radio, a screenwriter, and a director.»
↑ Block & Wilson, 2010, p. 549. «Fiddler had the highest domestic box office of 1971 (it was second in worldwide box office after Diamonds Are Forever), with more than $100 million in unadjusted worldwide box office on its initial release. The soundtrack album was also a huge seller. The 1979 rerelease was not as successful, with the $3.8 million print and ad costs almost as high as the $4.3 million in worldwide rentals.»
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[HallNeale179-201] Hall et Neale, 2010 , p. 179 . « Épopées prouvé plus tard beaucoup plus désastreux pour les bailleurs de fonds. Samuel Bronston de la chute de l'Empire romain , tourné en Espagne, coûtent 17.816.876 $ et extrapolés seulement 1,9 M $ en Amérique. La longue vie gestantes de George Stevens du Christ, La plus grande histoire jamais contée (1965 ), planifiée depuis 1954 et en production depuis 1962, a rapporté 6 962 715 $ de loyers intérieurs sur un coût négatif de 21 481 745 $, le montant le plus élevé jamais dépensé pour une production entièrement réalisée aux États-Unis. La Bible - au début... (1966) a été financé par le producteur italien Dino De Laurentiis auprès d'investisseurs privés et de banques suisses. Il a ensuite vendu les droits de distribution hors d'Italie conjointement à Fox et Seven Arts pour 15 millions de dollars (dont 70 pour cent provenaient de Fox), récupérant ainsi l'essentiel de son investissement de 18 millions de dollars. Bien que la Bible ait rendu une location respectable dans le monde de 25,3 millions de dollars, Fox s'est retrouvé avec une perte nette d'un peu plus de 1,5 million de dollars. C'était la dernière épopée biblique publiée par un grand studio hollywoodien depuis près de vingt ans. "

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[418] Hall et Neale, 2010 , pp. 6 - 7 . «Pour des raisons de responsabilité similaires, Variety utilise généralement des chiffres pour les revenus nationaux (américains et canadiens) plutôt que mondiaux. C'est devenu sa politique standard en 1940, lorsque l'avènement de la guerre en Europe a persuadé l'industrie cinématographique américaine (temporairement, comme il s'est avéré) qu'elle devrait être entièrement dépendante du marché intérieur pour la rentabilité. Lorsque des données spécifiques sur les loyers sont rapportées dans Variety avant cela (qui avaient tendance à n'être que sporadiques), elles concernaient souvent des performances mondiales plutôt que nationales. Ce fut aussi le cas avec d' autres sources commerciales, comme Quigley de » annuel Motion Picture Almanac, qui a publié ses propres listes de succès absolus à partir du début des années 1930. "La confusion qui a suivi entre les chiffres nationaux et mondiaux, ainsi que les chiffres de location et de billetterie, a tourmenté de nombreux récits publiés de l'histoire d'Hollywood (y compris parfois ceux de Variety elle-même), et nous avons tenté d'être diligents pour clarifier les différences entre eux."

[Dirks_(2010)-419] Retourner: ¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ Dirks, Tim Top Films of All-Time: Part 1 - Box Office-Blockbusters (Eng.) . Filmsite.org . Date du traitement 11 août 2010.

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[364] : 2 (.). Box Office Mojo. 21 2019. 785 046 920 $

[365] : 2 ( ) (.). Box Office Mojo. 21 2019. 734 546 611 $

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[206] Monaco, James. How to Read a Film:Movies, Media, and Beyond (.). — , 2009. — P. 262. — ISBN 9780199755790.. — «The Birth of a Nation, costing an unprecedented and, many believed, thoroughly foolhardy $110,000, eventually returned $20 million and more. The actual figure is hard to calculate because the film was distributed on a "states' rights" basis in which licenses to show the film were sold outright. The actual cash generated by The Birth of a Nation may have been as much as $50 million to $100 million, an almost inconceivable amount for such an early film.».

[Wasko-207] : ¹ ² Wasko, Janet. D.W. Griffiths and the banks: a case study in film financing // The Hollywood Film Industry: A Reader. — Routledge, 1986. — P. 34. — «Various accounts have cited $15 to $18 million profits during the first few years of release, while in a letter to a potential investor in the proposed sound version, Aitken noted that a $15 to $18 million box-office gross was a 'conservative estimate'. For years Variety has listed The Birth of a Nation's total rental at $50 million. (This reflects the total amount paid to the distributor, not box-office gross.) This 'trade legend' has finally been acknowledged by Variety as a 'whopper myth', and the amount has been revised to $5 million. That figure seems far more feasible, as reports of earnings in the Griffith collection list gross receipts for 1915–1919 at slightly more than $5.2 million (including foreign distribution) and total earnings after deducting general office expenses, but not royalties, at about $2 million.». — ISBN 9780710097309.

[208] The Birth of a nation: D.W. Griffith, director (.) / Lang, Robert. — , 1994. — P. 30. — ISBN 978-0-8135-2027-8.. — «The film eventually cost $110,000 and was twelve reels long.».

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[382] : « : $1.0 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

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: p. 52. «D.W. Griffith’s Way Down East (1920) was projected to return rentals of $4,000,000 on an $800,000 negative. This figure was based on the amounts earned from its roadshow run, coupled with its playoff in the rest of the country’s theaters. Griffith had originally placed the potential film rental at $3,000,000 but, because of the success of the various roadshows that were running the $4,000,000 total was expected. The film showed a profit of $615,736 after just 23 weeks of release on a gross of $2,179,613.»

: p. 112. «What Price Glory hit the jackpot with massive world rentals of $2,429,000, the highest figure in the history of the company. Since it was also the most expensive production of the year at $817,000 the profit was still a healthy $796,000…»

: p. 170. «The actual cost of Cavalcade was $1,116,000 and it was most definitely not guaranteed a success. In fact, if its foreign grosses followed the usual 40 percent of domestic returns, the film would have lost money. In a turnaround, the foreign gross was almost double the $1,000,000 domestic take to reach total world rentals of $3,000,000 and Fox’s largest profit of the year at $664,000.»

: p. 170. «State Fair did turn out to be a substantial hit with the help of Janet Gaynor boosting Will Rogers back to the level of money-making star. Its prestige engagements helped raked in a total $1,208,000 in domestic rentals. Surprisingly, in foreign countries unfamiliar with state fairs, it still earned a respectable $429,000. With its total rentals, the film ended up showing a $398,000 profit.»

[389] : p. 52. «D.W. Griffith’s Way Down East (1920) was projected to return rentals of $4,000,000 on an $800,000 negative. This figure was based on the amounts earned from its roadshow run, coupled with its playoff in the rest of the country’s theaters. Griffith had originally placed the potential film rental at $3,000,000 but, because of the success of the various roadshows that were running the $4,000,000 total was expected. The film showed a profit of $615,736 after just 23 weeks of release on a gross of $2,179,613.»

[390] : p. 112. «What Price Glory hit the jackpot with massive world rentals of $2,429,000, the highest figure in the history of the company. Since it was also the most expensive production of the year at $817,000 the profit was still a healthy $796,000…»

[391] : p. 170. «The actual cost of Cavalcade was $1,116,000 and it was most definitely not guaranteed a success. In fact, if its foreign grosses followed the usual 40 percent of domestic returns, the film would have lost money. In a turnaround, the foreign gross was almost double the $1,000,000 domestic take to reach total world rentals of $3,000,000 and Fox’s largest profit of the year at $664,000.»

[392] : p. 170. «State Fair did turn out to be a substantial hit with the help of Janet Gaynor boosting Will Rogers back to the level of money-making star. Its prestige engagements helped raked in a total $1,208,000 in domestic rentals. Surprisingly, in foreign countries unfamiliar with state fairs, it still earned a respectable $429,000. With its total rentals, the film ended up showing a $398,000 profit.»

[215] Hall & Neale, 2010, p. 53. «The Four Forsemen of the Apocalypse was to become Metro’s most expensive production and one of the decade’s biggest box-office hits. Its production costs have been estimated at „something between $600,000 and $800,000.“ Variety estimated its worldwide gross at $4 million in 1925 and at $5 million in 1944; in 1991, it estimated its cumulative domestic rentals at $3,800,000.»

[216] Brownlow, Kevin. The parade's gone by. — , 1968. — . 255. — ISBN 978-0-520-03068-8.. — «The negative cost was about $986,000, which did not include Fairbanks' own salary. Once the exploitation and release prints were taken into account, Robin Hood cost about $1,400,000—exceeding both Intolerance ($700,000) and the celebrated "million dollar movie" Foolish Wives. But it earned $2,500,000.».

[217] Vance, Jeffrey. Douglas Fairbanks. — , 2008. — . 146. — ISBN 9780520256675.. — «The film had a production cost of $930,042.78—more than the cost of D.W. Griffith's Intolerance and nearly as much as Erich von Stroheim's Foolish Wives (1922).».

[Time_(1925)-218] : ¹ ² Business: Film Exports (.) // Time : magazine. — 1925. — 6 July. 5 2010 .

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ch. 45. The Ten Commandments (1923). «Cost: $1,475,836.93; Gross: $4,169,798.38»

ch. 56. The Sign of the Cross. «Cost: $694,064.67; Gross: $2,738,993.35 (to 1937)»

ch. 68. Samson and Delilah. «Cost: $3,097,563.05»

ch. 69. The Greatest Show on Earth. «Cost: $3,873,946.50; Gross receipts: $15,797,396.36 (29 1962)»

ch. 70. The Ten Commandments (1956). «Cost: $13,272,381.87; Gross receipts: $90,066,230.00 (23 1979)»

[398] . 45. The Ten Commandments (1923). «Cost: $1,475,836.93; Gross: $4,169,798.38»

[399] . 56. The Sign of the Cross. «Cost: $694,064.67; Gross: $2,738,993.35 (to 1937)»

[400] . 68. Samson and Delilah. «Cost: $3,097,563.05»

[401] . 69. The Greatest Show on Earth. «Cost: $3,873,946.50; Gross receipts: $15,797,396.36 (29 1962)»

[402] . 70. The Ten Commandments (1956). «Cost: $13,272,381.87; Gross receipts: $90,066,230.00 (23 1979)»

[May_(2005)-220] May, Richard P. (Fall 2005), Restoring The Big Parade, The Moving Image . 5 (2): 140–146, ISSN 1532-3978, DOI 10.1353/mov.2005.0033

[221] Robertson, Patrick. Guinness Book of Movie Facts and Feats. — 4. — Abbeville Publishing Group, 1991. — . 30. — ISBN 9781558592360.. — «The top grossing silent film was King Vidor's The Big Parade (US 25), with worldwide rentals of $22 million.».

[222] Hall & Neale, 2010, pp. 58–59. «Even then, at a time when the budget for a feature averaged at around $300,000, no more than $382,000 was spent on production…According to the Eddie Mannix Ledger at MGM, it grossed $4,990,000 domestically and $1,141,000 abroad.»

[Ben-Hur_(1925)-223] Ben-Hur (1925) – Notes (.). Turner Classic Movies. 19 2017.

[HallNeale163-224] Hall & Neale, 2010, p. 163. "MGM's silent Ben-Hur, which opened at the end of 1925, had out-grossed all the other pictures released by the company in 1926 combined. With worldwide rentals of $9,386,000 on first release it was, with the sole possible exception of The Birth of a Nation, the highest-earning film of the entire silent era. (At a negative cost of $3,967,000, it was also the most expensive.)"

[225] Miller, Frank For Heaven's Sake (1926) – Articles (.). Turner Classic Movies. 15 2012.

[226] Finler, 2003, p. 188. «At a cost of $2 million Wings was the studio’s most expensive movie of the decade, and though it did well it was not good enough to earn a profit.»

[Jolson-227] : ¹ ² The Jazz Singer and The Singing Fool
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[411] Block, Hayley Taylor (2010), The Jazz Singer, . 113 In: Block & Wilson, 2010.

[Crafton-228] Crafton, Donald. The Talkies: American Cinema's Transition to Sound, 1926–1931 (.). — , 1999. — P. 549–552. — ISBN 9780520221284.. — «The Singing Fool: Negative Cost ($1000s): 388».

[229] Birchard, Robert S. (2010), The Broadway Melody, . 121 In: Block & Wilson, 2010.

[bradley-230] Bradley, Edwin M. The First Hollywood Musicals: A Critical Filmography of 171 Features, 1927 Through 1932 (.). — McFarland & Company, 2004. — ISBN 9780786420292.
The Singing Fool: p. 12. «Ego aside, Jolson was at the top of his powers in The Singing Fool. The $150,000 Warner Bros. paid him to make it, and the $388,000 it took to produce the film, were drops in the hat next to the film’s world gross of $5.9 million. Its $3.8-million gross in this country set a box-office record that would not be surpassed until Walt Disney’s Snow White and the Seven Dwarfs (1937).»

The Broadway Melody: p. 24. «The Broadway Melody with a negative cost of $379,000, grossed $2.8 million in the United States, $4.8 million worldwide, and made a recorded profit of $1.6 million for MGM.»

Gold Diggers of Broadway: p. 58. «It grossed an impressive $2.5 million domestically and nearly $4 million worldwide.»

[415] The Singing Fool: p. 12. «Ego aside, Jolson was at the top of his powers in The Singing Fool. The $150,000 Warner Bros. paid him to make it, and the $388,000 it took to produce the film, were drops in the hat next to the film’s world gross of $5.9 million. Its $3.8-million gross in this country set a box-office record that would not be surpassed until Walt Disney’s Snow White and the Seven Dwarfs (1937).»

[416] The Broadway Melody: p. 24. «The Broadway Melody with a negative cost of $379,000, grossed $2.8 million in the United States, $4.8 million worldwide, and made a recorded profit of $1.6 million for MGM.»

[417] Gold Diggers of Broadway: p. 58. «It grossed an impressive $2.5 million domestically and nearly $4 million worldwide.»

[Solomon_(1988)-231] : ¹ ² ³ Solomon, Aubrey. Twentieth Century-Fox: a corporate and financial history (.). — Rowman & Littlefield, 2002. — Vol. 20. — (Filmmakers series). — ISBN 9780810842441.
: p. 10. «Sunny Side Up, a musical starring Janet Gaynor and Charles Farrell, showed domestic rentals of $3.5 million, a record for the company.»

: p. 66. «On the surface, with world rentals of $8 million, Forever Amber was considered a hit at distribution level.»

The French Connection

p. 167. «The Planet of the Apes motion pictures were all moneymakers and Zanuck’s record would have immediately improved had he stayed through the release of The French Connection, which took in rentals of approximately $75 million worldwide.»

p. 256. «$3,300,00».

[419] : p. 10. «Sunny Side Up, a musical starring Janet Gaynor and Charles Farrell, showed domestic rentals of $3.5 million, a record for the company.»

[420] : p. 66. «On the surface, with world rentals of $8 million, Forever Amber was considered a hit at distribution level.»

[421] The French Connection

[232] Block & Wilson, 2010, p. 46. «Production Cost: $0.6 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

[233] Cormack, Mike. Ideology and Cinematography in Hollywood, 1930–1939 (.). — Palgrave Macmillan, 1993. — P. 28. — ISBN 9780312100674.. — «Although costing $1250000—a huge sum for any studio in 1929—the film was a financial success. Karl Thiede gives the domestic box-office at $1500000, and the same figure for the foreign gross.».

[Balio_(1996)-234] : ¹ ² Balio, Tino. Grand Design: Hollywood as a Modern Business Enterprise, 1930–1939 (.). — , 1996. — Vol. Volume 5 of History of the American Cinema. — ISBN 9780520203341.
': p. 182. «Produced by Winfield Sheehan at a cost of $1.25 million, Cavalcade won Academy Awards for best picture, director, art direction and grossed close to $4 million during its first release, much of which came from Great Britain and the Empire.»

: p. 212. «Produced by Sam Goldwyn at a cost of $1 million, the picture was an adaptation of a smash musical comedy built around Eddie Cantor…A personality-centered musical, Whoopee! made little attempt to integrate the comedy routines, songs, and story. Nonetheless, Cantor’s feature-film debut grossed over $2.6 million worldwide and started a popular series that included Palmy Days (1931), The Kid from Spain (1932), and Roman Scandals (1933).»

[425] ': p. 182. «Produced by Winfield Sheehan at a cost of $1.25 million, Cavalcade won Academy Awards for best picture, director, art direction and grossed close to $4 million during its first release, much of which came from Great Britain and the Empire.»

[426] : p. 212. «Produced by Sam Goldwyn at a cost of $1 million, the picture was an adaptation of a smash musical comedy built around Eddie Cantor…A personality-centered musical, Whoopee! made little attempt to integrate the comedy routines, songs, and story. Nonetheless, Cantor’s feature-film debut grossed over $2.6 million worldwide and started a popular series that included Palmy Days (1931), The Kid from Spain (1932), and Roman Scandals (1933).»

[Balio_(1976)-235] Hell’s Angels
Balio, Tino. United Artists: The Company Built by the Stars (.). — , 1976. — P. 110.. — «Hughes did not have the "Midas touch" the trade press so often attributed to him. Variety, for example, reported that Hell's Angels cost $3.2 million to make, and by July, 1931, eight months after its release, the production cost had nearly been paid off. Keats claimed the picture cost $4 million to make and that it earned twice that much within twenty years. The production cost estimate is probably correct. Hughes worked on the picture for over two years, shooting it first as a silent and then as a talkie. Lewis Milestone said that in between Hughes experimented with shooting it in color as well. But Variety's earnings report must be the fabrication of a delirious publicity agent, and Keats' the working of a myth maker. During the seven years it was in United Artists distribution, Hell's Angels grossed $1.6 million in the domestic market, of which Hughes' share was $1.2 million. Whatever the foreign gross was, it seems unlikely that it was great enough to earn a profit for the picture.}}

[428] Balio, Tino. United Artists: The Company Built by the Stars (.). — , 1976. — P. 110.. — «Hughes did not have the "Midas touch" the trade press so often attributed to him. Variety, for example, reported that Hell's Angels cost $3.2 million to make, and by July, 1931, eight months after its release, the production cost had nearly been paid off. Keats claimed the picture cost $4 million to make and that it earned twice that much within twenty years. The production cost estimate is probably correct. Hughes worked on the picture for over two years, shooting it first as a silent and then as a talkie. Lewis Milestone said that in between Hughes experimented with shooting it in color as well. But Variety's earnings report must be the fabrication of a delirious publicity agent, and Keats' the working of a myth maker. During the seven years it was in United Artists distribution, Hell's Angels grossed $1.6 million in the domestic market, of which Hughes' share was $1.2 million. Whatever the foreign gross was, it seems unlikely that it was great enough to earn a profit for the picture.}}

[236] Feaster, Felicia Frankenstein (1931) (.). Turner Classic Movies. 4 2011.

[237] Block & Wilson, 2010, p. 163. «It drew $1.4 million in worldwide rentals in its first run versus $1.2 million for Dracula, which had opened in February 1931.»

[238] Vance, Jeffrey. Chaplin: genius of the cinema. — Abrams Books, 2003. — . 208.. — «Chaplin's negative cost for City Lights was $1,607,351. The film eventually earned him a worldwide profit of $5 million ($2 million domestically and $3 million in foreign distribution), an enormous sum of money for the time.».

[IMPA_(1937)-239] The All-Time Best Sellers – Motion Pictures // International Motion Picture Almanac 1937–38 / Ramsaye, Terry. — 1937. — . 942—943.

[Sedgwick-240] : ¹ ² ³ ⁴ Sedgwick, John. Popular Filmgoing In 1930s Britain: A Choice of Pleasures (.). — , 2000. — P. 146–148. — ISBN 9780859896603.. — «Sources: Eddie Mannix Ledger, made available to the author by Mark Glancy...».
: Production Cost $000s: 700; Distribution Cost $000s: 947; US box-office $000s: 1,235; Foreign box-office $000s: 1,359; Total box-office $000s: 2,594; Profit $000s: 947.

: Production Cost $000s: 1,605; Distribution Cost $000s: 1,116; US box-office $000s: 861; Foreign box-office $000s: 1,747; Total box-office $000s: 2,608; Profit $000s: −113.

, !: Production Cost $000s: 1,022; Distribution Cost $000s: 766; US box-office $000s: 941; Foreign box-office $000s: 934; Total box-office $000s: 1,875; Profit $000s: 87.

«»: Production Cost $000s: 1,905; Distribution Cost $000s: 1,646; US box-office $000s: 2,250; Foreign box-office $000s: 2,210; Total box-office $000s: 4,460; Profit $000s: 909.

-: Production Cost $000s: 1,300; Distribution Cost $000s: 1,736; US box-office $000s: 2,868; Foreign box-office $000s: 2,405; Total box-office $000s: 5,273; Profit $000s: 2,237.

[434] : Production Cost $000s: 700; Distribution Cost $000s: 947; US box-office $000s: 1,235; Foreign box-office $000s: 1,359; Total box-office $000s: 2,594; Profit $000s: 947.

[435] : Production Cost $000s: 1,605; Distribution Cost $000s: 1,116; US box-office $000s: 861; Foreign box-office $000s: 1,747; Total box-office $000s: 2,608; Profit $000s: −113.

[436] , !: Production Cost $000s: 1,022; Distribution Cost $000s: 766; US box-office $000s: 941; Foreign box-office $000s: 934; Total box-office $000s: 1,875; Profit $000s: 87.

[437] «»: Production Cost $000s: 1,905; Distribution Cost $000s: 1,646; US box-office $000s: 2,250; Foreign box-office $000s: 2,210; Total box-office $000s: 4,460; Profit $000s: 909.

[438] -: Production Cost $000s: 1,300; Distribution Cost $000s: 1,736; US box-office $000s: 2,868; Foreign box-office $000s: 2,405; Total box-office $000s: 5,273; Profit $000s: 2,237.

[shanghai-241] Shanghai Express
Block & Wilson, 2010, p. 165. «Shanghai Express was Dietrich’s biggest hit in America, bringing in $1.5 million in worldwide rentals.»

[440] Block & Wilson, 2010, p. 165. «Shanghai Express was Dietrich’s biggest hit in America, bringing in $1.5 million in worldwide rentals.»

[242] King Kong
Jewel, Richard. RKO Film Grosses: 1931–1951 (.) // Historical Journal of Film Radio and Television : journal. — 1994. — Vol. 14, no. 1. — P. 39.

King Kong (1933) – Notes (.). Turner Classic Movies. — «1952 release: $2,500,000; budget: $672,254.75». 7 2012.

[442] Jewel, Richard. RKO Film Grosses: 1931–1951 (.) // Historical Journal of Film Radio and Television : journal. — 1994. — Vol. 14, no. 1. — P. 39.

[443] King Kong (1933) – Notes (.). Turner Classic Movies. — «1952 release: $2,500,000; budget: $672,254.75». 7 2012.

[243] I'm No Angel (1933) – Notes (.). Turner Classic Movies. — «According to a modern source, it had a gross earning of $2,250,000 on the North American continent, with over a million more earned internationally.». 7 2012.

[244] Finler, 2003, p. 188. «The studio released its most profitable pictures of the decade in 1933, She Done Him Wrong and I’m No Angel, written by and starring Mae West. Produced at a rock-bottom cost of $200,000 each, they undoubtedly helped Paramount through the worst patch in its history…»

[BlockWilson173-245] Block, Alex Ben (2010), She Done Him Wrong, . 173 In: Block & Wilson, 2010.

[Phillips_(2008)-246] Phillips, Kendall R. Controversial Cinema: The Films That Outraged America (.). — ABC-CLIO, 2008. — P. 26. — ISBN 9781567207248.. — «The reaction to West's first major film, however, was not exclusively negative. Made for a mere $200,000, the film would rake in a healthy $2 million in the United States and an additional million in overseas markets.».

[247] Block & Wilson, 2010, p. 135. «Total production cost: $274,076 (Unadjusted $s).»

[Turk-248] : ¹ ² Turk, Edward Baron. Hollywood Diva: A Biography of Jeanette MacDonald (.). — , 2000. — ISBN 9780520222533.
: p. 361 Cost: $1,605,000. Earnings: domestic $861,000; foreign $1,747,000; total $2,608,000. Loss: $113,000.

-: p. 364 Cost: $1,300,000. Earnings: domestic $2,868,000; foreign $2,405,000; total $5,273,000. Profit: $2,237,000. [Reissues in 1938-39 and 1948-49 brought profits of $124,000 and $647,000 respectively.]

[450] : p. 361 Cost: $1,605,000. Earnings: domestic $861,000; foreign $1,747,000; total $2,608,000. Loss: $113,000.

[451] -: p. 364 Cost: $1,300,000. Earnings: domestic $2,868,000; foreign $2,405,000; total $5,273,000. Profit: $2,237,000. [Reissues in 1938-39 and 1948-49 brought profits of $124,000 and $647,000 respectively.]

[249] McBride, Joseph. Frank Capra: The Catastrophe of Success. — , 2011. — . 309. — ISBN 9781604738384.. — «According to the studio's books It Happened One Night brought in $1 million in film rentals during its initial release, but as Joe Walker pointed out, the figure would have been much larger if the film had not been sold to theaters on a block-booking basis in a package with more than two dozen lesser Columbia films, and the total rentals of the package spread among them all, as was customary in that era, since it minimized the risk and allowed the major studios to dominate the marketplace.».

[250] Dick, Bernard F. Claudette Colbert: She Walked in Beauty. — , 2008. — . 79. — ISBN 9781604730876.. — «Although Columbia's president, Harry Cohn, had strong reservations about It Happened One Night, he also knew that it would not bankrupt the studio; the rights were only $5,000, and the budget was set at $325,000, including the performers' salaries.».

[251] Snow White and the Seven Dwarfs
Monaco, Paul. A History of American Movies: A Film-By-Film Look at the Art, Craft, and Business of Cinema. — Scarecrow Press, 2010. — P. 54. — «Considered a highly risky gamble when the movie was in production in the mid-1930s, by the fiftieth anniversary of its 1937 premiere Snow White's earnings exceeded $330 million.». — ISBN 9780810874343.

The Permanence and Care of Color Photographs: Traditional and Digital Color Prints, Color Negatives, Slides, and Motion Pictures (.). — Preservation Pub, 1993. — P. 359. — ISBN 978-0911515008.. — «In only 2 months after the 1987 re-release, the film grossed another $45 million—giving it a total gross to date of about $375 million!».

Snow White and the Seven Dwarfs (1987 Re-issue) (.). Box office. — «North American box-office: $46,594,719». 29 2016.

Snow White and the Seven Dwarfs (1993 Re-issue) (.). Box office. — «North American box-office: $41,634,791». 29 2016.

[455] Monaco, Paul. A History of American Movies: A Film-By-Film Look at the Art, Craft, and Business of Cinema. — Scarecrow Press, 2010. — P. 54. — «Considered a highly risky gamble when the movie was in production in the mid-1930s, by the fiftieth anniversary of its 1937 premiere Snow White's earnings exceeded $330 million.». — ISBN 9780810874343.

[456] The Permanence and Care of Color Photographs: Traditional and Digital Color Prints, Color Negatives, Slides, and Motion Pictures (.). — Preservation Pub, 1993. — P. 359. — ISBN 978-0911515008.. — «In only 2 months after the 1987 re-release, the film grossed another $45 million—giving it a total gross to date of about $375 million!».

[457] Snow White and the Seven Dwarfs (1987 Re-issue) (.). Box office. — «North American box-office: $46,594,719». 29 2016.

[458] Snow White and the Seven Dwarfs (1993 Re-issue) (.). Box office. — «North American box-office: $41,634,791». 29 2016.

[Snow_White_&_Pinocchio-252] : ¹ ² Snow White and the Seven Dwarfs and Pinocchio
Block & Wilson, 2010

p. 207. «When the budget rose from $250,000 to $1,488,423 he even mortgaged his own home and automobile. Disney had bet more than his company on the success of Snow White.»

p. 237. «By the end of 1938, it had grossed more than $8 million in worldwide rentals and was ranked at the time as the second-highest-grossing film after the 1925 epic Ben-Hur».

p. 255. «On its initial release Pinocchio brought in only $1.6 million in domestic rentals (compared with Snow Whités $4.2 million) and $1.9 million in foreign rentals (compared with Snow Whités $4.3 million).»

[460] Block & Wilson, 2010

[253] 1938
:You Can't Take It With You Premieres (.). Focus Features. — «You Can't Take It With You received excellent reviews, won Best Picture and Best Director at the 1938 Academy Awards, and earned over $5 million worldwide.». 13 2012 .

: Block, Alex Ben (2010), Boys Town, . 215 In: Block & Wilson, 2010.

: Glancy, H. Mark. Warner Bros Film Grosses, 1921–51: the William Schaefer ledger (.) // Historical Journal of Film, Radio and Television : journal. — 1995. — Vol. 1, no. 15. — P. 55—60. — doi:10.1080/01439689500260031.

: Block, Hayley Taylor (2010), Alexander's Ragtime Band, . 213 In: Block & Wilson, 2010.

[462] :You Can't Take It With You Premieres (.). Focus Features. — «You Can't Take It With You received excellent reviews, won Best Picture and Best Director at the 1938 Academy Awards, and earned over $5 million worldwide.». 13 2012 .

[463] : Block, Alex Ben (2010), Boys Town, . 215 In: Block & Wilson, 2010.

[464] : Glancy, H. Mark. Warner Bros Film Grosses, 1921–51: the William Schaefer ledger (.) // Historical Journal of Film, Radio and Television : journal. — 1995. — Vol. 1, no. 15. — P. 55—60. — doi:10.1080/01439689500260031.

[465] : Block, Hayley Taylor (2010), Alexander's Ragtime Band, . 213 In: Block & Wilson, 2010.

[254] Chartier, Roy You Can't Take It With You (.). Variety (6 September 1938). 13 2011.

[255] (.). Box Office Mojo. 12 2019.

[gwtw_tcm-256] : ¹ ² Gone With the Wind (1939) – Articles (.). Turner Classic Movies (5 January 2007). 28 2013 .

[257] Hall & Neale, 2010, p. 283 ."The final negative cost of Gone with the Wind (GWTW) has been variously reported between $3.9 million and $4.25 million."

[258] Pinocchio (.). Box office. 29 2016.

[Barrier602-259] Barrier, Michael. Hollywood Cartoons: American Animation in Its Golden Age (.). — New York: , 2003. — P. 266. — ISBN 9780199839223.. — «The film's negative cost was $2.6 million, more than $1 million higher than Snow White's.».

[Schatz_(1999)-260] Schatz, Thomas. Boom and Bust: American Cinema in the 1940s (.). — , 1999. — Vol. Volume 6 of History of the American Cinema. — P. 466. — ISBN 9780520221307.. — «Boom Town ($4.6 million).».

[261] Block & Wilson, 2010, pp. 258–259. «Production Cost: $2.1 (Unadjusted $s in Millions of $s) … Boom Town was the biggest moneymaker of 1940 and one of the top films of the decade.»

[262] Block & Wilson, 2010, p. 267. «With worldwide rentals of $7.8 million in its initial release, the movie made a net profit of over $3 million.»

[263] Finler, 2003, p. 301. «The studio did particularly well with its war-related pictures, such as Sergeant York (1941), which cost $1.6 million but was the studio’s biggest hit of the decade aside from This is the Army (1943), the Irving Berlin musical for which the profits were donated to the Army Emergency Relief fund.»

[264] Bambi (.). Box office. 29 2016.

[265] Block & Wilson, 2010, p. 281. «Worldwide rentals of $3,449,353 barely recouped the film’s nearly $2 million production cost.»

[Disney-266] : ¹ ² ³ ⁴ Block & Wilson, 2010, pp. 712–713.
: « : $266.8; : $1.7 (Millions of $s)»

101 : « : $215.0; : $3.6 (Millions of $s)»

: « : $170.8»; : $3.9 (Millions of $s)"

: « : $505.1»; : $28.0 (Millions of $s)"

[479] : « : $266.8; : $1.7 (Millions of $s)»

[480] 101 : « : $215.0; : $3.6 (Millions of $s)»

[481] : « : $170.8»; : $3.9 (Millions of $s)"

[482] : « : $505.1»; : $28.0 (Millions of $s)"

[267] Glancy, Mark. When Hollywood Loved Britain: The Hollywood 'British' Film 1939–1945 (.). — , 1999. — P. 94–95. — ISBN 9780719048531.. — «Mrs Miniver was a phenomenon. It was the most popular film of the year (from any studio) in both North America and Britain, and its foreign earnings were three times higher than those of any other MGM film released in the 1941–42 season. The production cost ($1,344,000) was one of the highest of the season, indicating the studio never thought of the film as a potential loss-maker. When the film earned a worldwide gross of $8,878,000, MGM had the highest profit ($4,831,000) in its history. Random Harvest nearly matched the success of Mrs Miniver with worldwide earnings of $8,147,000 yielding the second-highest profit in MGM's history ($4,384,000). Random Harvest was also the most popular film of the year in Britain, where it proved to be even more popular than Britain's most acclaimed war film, In Which We Serve.».

[268] Block & Wilson, 2010
: Burns, Douglas (2010), Mrs. Miniver, . 279

: p. 275. «It became the second biggest box-office hit of 1942 (after Mrs. Miniver) and was praised by critics, making a profit of $3.4 million on worldwide rentals of $6.5 million.»

[485] : Burns, Douglas (2010), Mrs. Miniver, . 279

[486] : p. 275. «It became the second biggest box-office hit of 1942 (after Mrs. Miniver) and was praised by critics, making a profit of $3.4 million on worldwide rentals of $6.5 million.»

[269] McAdams, Frank (2010), For Whom the Bell Tolls, . 287 In: Block & Wilson, 2010.

[270] For Whom the Bell Tolls (1943) – Notes (.). Turner Classic Movies. 24 2012.

[guy-named-joe-271] : ¹ ² A Guy Named Joe – Notes (.). Turner Classic Movies. — «According to M-G-M studio records at the AMPAS Library, the film had a negative cost of $2,627,000 and took in $5,363,000 at the box office. When the picture was re-issued for the 1955–56 season, it took in an additional $150,000.». 29 2012.

[272] Bergreen, Laurence. Irving Berlin: This Is the Army // Prologue. — . 28, № 2. — . Part 3.

[273] This Is the Army (1943) – Notes (.). Turner Classic Movies. 9 2011.

[Finler356-274] : ¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ ⁷ Finler, 2003, pp. 356–363

[275] Block & Wilson, 2010, p. 420. «(Unadjusted $s) in Millions of $s — Production Cost: $1.0»

[BlockWilson232-276] : ¹ ² Block & Wilson, 2010, p. 232.
: « : $5 358 000; : $3 520 000 (Unadjusted $s)»

-: « : $5 016 000; : $1 623 630 (Unadjusted $s)»

: « : $4 144 000; : $1 774 134 (Unadjusted $s)»

[495] : « : $5 358 000; : $3 520 000 (Unadjusted $s)»

[496] -: « : $5 016 000; : $1 623 630 (Unadjusted $s)»

[497] : « : $4 144 000; : $1 774 134 (Unadjusted $s)»

[Schaefer_(1999)-277] Schaefer, Eric. "Bold! Daring! Shocking! True!": A History of Exploitation Films, 1919–1959 (.). — , 1999. — P. 197–199. — ISBN 9780822323747.. — «Leading the pack of postwar sex hygiene films was Mom and Dad (1944), which would become not only the most successful sex hygiene film in history but the biggest pre-1960 exploitation film of any kind. At the end of 1947, the Los Angeles Times reported that Mom and Dad had grossed $2 million. By 1949 Time had estimated that Mom and Dad had taken in $8 million from twenty million moviegoers. And publicity issuing from Mom and Dad's production company indicated that by the end of 1956 it had grossed over $80 million worldwide. Net rentals of around $22 million by 1956 would easily place it in the top ten films of the late 1940s and early 1950s had it appeared on conventional lists. Some estimates have placed its total gross over the years at up to $100 million, and it was still playing drive-in dates into 1975...The film was made for around $65,000 with a crew of Hollywood veterans including director William "One Shot" Beaudine, cinematographer Marcel LePicard, and a cast that sported old stalwarts Hardie Albright, Francis Ford, and John Hamilton.».

[278] Block & Wilson, 2010
p. 296. «Production Cost: $1.6 (Unadjusted $s in Millions of $s)»

Wasson, Sam (2010), The Bells of St. Mary's, . 297

[500] . 296. «Production Cost: $1.6 (Unadjusted $s in Millions of $s)»

[501] Wasson, Sam (2010), The Bells of St. Mary's, . 297

[279] Song of the South (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. 10 2011.

[280] Gabler, Neal. Walt Disney: the biography. — Aurum Press, 2007. — . 438.. — «Still, the film wound up grossing $3.3 million...».

[281] Song of the South (1946) – Notes (.). Turner Classic Movies. 25 2012.

[282] Hall & Neale, 2010
p. 132."Best Years was considerably cheaper, costing only $2.1 million, and therefore vastly more profitable."

p. 286 (note 6.70). «Worldwide rentals for The Best Years of Our Lives amounted to $14,750,000.»

[506] . 132."Best Years was considerably cheaper, costing only $2.1 million, and therefore vastly more profitable."

[507] . 286 (note 6.70). «Worldwide rentals for The Best Years of Our Lives amounted to $14,750,000.»

[283] Burns, Douglas (2010), The Best years of Our Lives, . 301 In: Block & Wilson, 2010.

[HallNeale285-284] : ¹ ² Hall & Neale, 2010, p. 285 (note 6.56). «The cost of Duel in the Sun has been reported as both $5,255,000 (Haver, David O’Selznick’s Hollywood, 361) and $6,480,000 (Thomson, Showman: The Life of David O’Selznick, 472); the latter figure may include distribution expenses. Forever Amber cost $6,375,000 (Solomon, Twentieth Century-Fox: A Corporate and Financial History, 243).»

[285] Chopra-Gant, Mike. Hollywood Genres and Post-war America: Masculinity, Family and Nation in Popular Movies and Film Noir (.). — I.B. Tauris, 2006. — P. 18. — ISBN 9781850438151.. — «Forever Amber: $8 million; Unconquered: $7.5 million; Life with Father: $6.25 million».

[286] Unconquered (1947) – Notes (.). Turner Classic Movies. 10 2012.

[287] Miller, Frank Easter Parade (1948) – Articles (.). Turner Classic Movies. 19 2012.

[288] Street, Sarah. Transatlantic Crossings: British Feature Films in the United States (.). — Continuum International Publishing Group, 2002. — P. 110. — ISBN 9780826413956.. — «Although both films had higher than average budgets (The Red Shoes cost £505,581 and Hamlet cost £572,530, while the average cost of the other thirty films for which Rank supplied information was £233,000), they resulted in high takings at home and abroad.».

[289] Officer, Lawrence H. Dollar-Pound Exchange Rate From 1791 (.). MeasuringWorth. — «1947–1948: $4.03 (per British pound)». 18 2012.

[290] The Snake Pit (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. 13 2012 .

[291] 'Snake Pit' Seen No Problem After All, Variety (19 1949), . 7.

[HallNeale136-292] : ¹ ² Hall & Neale, 2010, p. 136–139
: «…the film became the highest grosser in the studio’s history to date, with domestic rentals of $7,976,730 by 1955 and a further $6,232,520 overseas…For all their spectacle, Samson and David were quite economically produced, costing $3,097,563 and $2,170,000 respectively.»

: «Production costs totaled a record $7,623,000…Worldwide rentals totaled $21,037,000, almost half of which came from the foreign market.»

[518] : «…the film became the highest grosser in the studio’s history to date, with domestic rentals of $7,976,730 by 1955 and a further $6,232,520 overseas…For all their spectacle, Samson and David were quite economically produced, costing $3,097,563 and $2,170,000 respectively.»

[519] : «Production costs totaled a record $7,623,000…Worldwide rentals totaled $21,037,000, almost half of which came from the foreign market.»

[293] Cinderella (1950) (.). The Numbers. Nash Information Services. 2 2017.

[294] Work in Progress. — , 2009. — . 178. — ISBN 9780786885077.. — «Cinderella revived its fortunes. Re-released in February 1950, it cost nearly $3 million to make but earned more than $20 million worldwide.».

[295] Barrier, Michael. Hollywood Cartoons: American Animation in Its Golden Age (.). — , 2003. — P. 401. — ISBN 9780195167290.. — «It cost around $2.2 million, little more than each of the two package features, Melody Time and The Adventures of Ichabod and Mr. Toad (as Tluo Fabulous Characters had ultimately been named), that just preceded it, but its gross rentals—an amount shared by Disney and RKO—were $7.8 million, almost twice as much as the two package features combined.».

[Mannix-296] The E. J. Mannix ledger. — Margaret Herrick Library, Academy of Motion Picture Arts and Sciences: Howard Strickling Collection, 1962.

[Lev-297] : ¹ ² Lev, Peter. Transforming the Screen, 1950–1959. — , 2006. — . Volume 7 of History of the American Cinema. — ISBN 9780520249660.
: p. 15. «MGM’s most expensive film of the period, Quo Vadis (1951) also did extremely well. The cost was $7,623,000, earnings were an estimated $21.2 million (with foreign earnings almost 50 percent of this total), and profit was estimated at $5,562,000.»

: pp. 203-204. «Rear Window (1954) was an excellent commercial success, with a cost of $1 million and North American rentals of $5.3 million.»

[525] : p. 15. «MGM’s most expensive film of the period, Quo Vadis (1951) also did extremely well. The cost was $7,623,000, earnings were an estimated $21.2 million (with foreign earnings almost 50 percent of this total), and profit was estimated at $5,562,000.»

[526] : pp. 203-204. «Rear Window (1954) was an excellent commercial success, with a cost of $1 million and North American rentals of $5.3 million.»

[BlockWilson335-298] : ¹ ² Block & Wilson, 2010, p. 335.
: « : $16.7; : $9.4; : $4.1 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $11.1; : $15.6; : $7.5 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

[528] : « : $16.7; : $9.4; : $4.1 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

[529] : « : $11.1; : $15.6; : $7.5 (Unadjusted $s in Millions of $s).»

[299] Mulligan, Hugh A.. Cinerama Pushing Ahead As Biggest Money-Maker (23 1956), . 7B.

[300] Zone, Ray. 3-D Revolution: The History of Modern Stereoscopic Cinema (.). — , 2012. — P. 71. — ISBN 9780813136110.. — «Produced at a cost of $1 million, This is Cinerama ran 122 weeks, earning $4.7 million in its initial New York run alone and eventually grossed over $32 million. It was obvious to Hollywood that the public was ready for a new form of motion picture entertainment. The first five Cinerama feature-length travelogues, though they only played in twenty-two theaters, pulled in a combined gross of $82 million.».

[301] Burns, Douglas (2010), The Greatest Show on Earth, . 354–355 In: Block & Wilson, 2010.

[302] The Greatest Show on Earth (1952) – Notes (.). Turner Classic Movies. 8 2012.

[303] Peter Pan (1953) – Notes (.). Turner Classic Movies. 24 2011.

[HallNeale147-304] Hall & Neale, 2010, p. 147–148. «To take full advantage of CinemaScope’s panoramic possibilities, shooting was delayed for the sets to be redesigned and rebuilt, adding $500,000 to the eventual $4.1 million budget…It ultimately returned domestic rentals of $17.5 million and $25 million worldwide, placing it second only to Gone with the Wind in Varietýs annually updated chart.»

[305] Block & Wilson, 2010, p. 367. «It brought in $16.7 million in domestic rentals, $9.4 million in foreign rentals, and made a net profit of $8.1 million.»

[306] Rear Window (.). Box office. 29 2016.

[307] White Christmas (.). Box office. 29 2016.

[308] Block & Wilson, 2010, p. 420. «Domestic Box Office: $19.6 million; Production Cost: $3.8 million.»

[309] Hall & Neale, 2010, p. 149. «VistaVision was first used for the musical White Christmas (1954), which Variety named the top grosser of its year with anticipated domestic rentals of $12 million.»

[310] 20000 Leagues Under The Sea (.). Box office. 29 2016.

[311] Miller, John M 20,000 Leagues Under the Sea (1954) – Articles (.). Turner Classic Movies. 9 2012.

[312] Finler, 2003, p. 320. «It was up and running in time to handle Disney’s most elaborate expensive feature, 20,000 Leagues Under the Sea, based on the book by Jules Verne, starring James Mason and Kirk Douglas and directed by Richard Fleischer at a cost of $4.5 million.»

[DisneyWWVariety2003-313] : ¹ ² D'Alessandro, Anthony. Disney Animated Features at the Worldwide Box Office, Variety (27 2003). «The Jungle Book $378 million; Lady and the Tramp $187 million».

[314] Lady and the Tramp (1955) – Notes (.). Turner Classic Movies. 27 2011.

[315] Minego, Pete. Pete's Pungent Patter, Portsmouth Daily Times (21 1956), . 19.

[316] Cinerama Holiday (1955) – Notes (.). Turner Classic Movies. 7 2012.

[317] Block & Wilson, 2010
p. 382. «Production Cost: $2.4 (Unadjusted $s in Millions of $s)»

Burns, Douglas (2010), Mister Roberts, . 383

[549] . 382. «Production Cost: $2.4 (Unadjusted $s in Millions of $s)»

[550] Burns, Douglas (2010), Mister Roberts, . 383

[BlockWilson327-318] Block & Wilson, 2010, p. 327. «Production cost: $13.3 million; Domestic Film Rental: $31.3; Foreign Film Rental: $23.9; Worldwide Box office (estimated): $122.7 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[HallNeale159-319] : ¹ ² Hall & Neale, 2010, pp. 159–161
: «No film did more to entrench roadshow policy than The Ten Commandments. While the success of This Is Cinerama, The Robe, and even Eighty Days could be attributed, at least in part, to their respective photographic and projection formats, that of DeMille’s film (which cost a record $13,266,491) could not…General release began at normal prices in 1959 and continued until the end of the following year, when the film was temporarily withdrawn (the first of several reissues came in 1966). The worldwide rental by this time was around $60 million. In the domestic market it dislodged Gone with the Wind from the number one position on Variety’s list of All-Time Rentals Champs. GWTW had hitherto maintained its lead through several reissues (and was soon to regain it through another in 1961).»

: Columbia’s Anglo-American war film The Bridge on the River Kwai (1957) opened on a roadshow basis in selected U.S. cities (including New York, Chicago, Boston, and Los Angeles) and in London. Costing only $2,840,000 to produce, it grossed $30.6 million worldwide on first release."

[553] : «No film did more to entrench roadshow policy than The Ten Commandments. While the success of This Is Cinerama, The Robe, and even Eighty Days could be attributed, at least in part, to their respective photographic and projection formats, that of DeMille’s film (which cost a record $13,266,491) could not…General release began at normal prices in 1959 and continued until the end of the following year, when the film was temporarily withdrawn (the first of several reissues came in 1966). The worldwide rental by this time was around $60 million. In the domestic market it dislodged Gone with the Wind from the number one position on Variety’s list of All-Time Rentals Champs. GWTW had hitherto maintained its lead through several reissues (and was soon to regain it through another in 1961).»

[554] : Columbia’s Anglo-American war film The Bridge on the River Kwai (1957) opened on a roadshow basis in selected U.S. cities (including New York, Chicago, Boston, and Los Angeles) and in London. Costing only $2,840,000 to produce, it grossed $30.6 million worldwide on first release."

[320] Hall & Neale, 2010, p. 153. «South Pacific also became for a time the most successful film ever released in the United Kingdom, where it earned a box-office gross three times its negative cost of $5,610,000. Anticipated global rentals after three years were $30 million.»

[321] Ross, Steven J. Hollywood Left and Right: How Movie Stars Shaped American Politics (.). — , 2011. — P. 278–279. — ISBN 9780199911431.. — «Costing $15 million to produce, the film earned $47 million by the end of 1961 and $90 million worldwide by January 1989.».

[322] Block & Wilson, 2010, p. 324. «Worldwide box office: $146.9 million; Worldwide rentals: $66.1 million; Production cost: $15.9 million. (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s)»

[323] Reid, John Howard. America's Best, Britain's Finest: A Survey of Mixed Movies (.). — Lulu, 2006. — Vol. Volume 14 of Hollywood classics. — P. 243–245. — ISBN 9781411678774.. — «Negative cost: around $4 million; Worldwide film rentals gross (including 1968 American reissue) to 1970: $30 million.».

[324] Webster, Patrick. Love and Death in Kubrick: A Critical Study of the Films from Lolita Through Eyes Wide Shut (.). — McFarland & Company, 2010. — P. 298 (note 2.23). — ISBN 9780786459162.. — «Spartacus cost $12 million and grossed some $60 million at the box office, figures Kubrick rarely again matched.».

[HallNeale179-325] : ¹ ² Hall & Neale, 2010, p. 179.
: «In the case of Spartacus, overseas earnings to 1969 amounted to $12,462,044, while U.S. and Canadian rentals (even including a million-dollar TV sale) were only $10,643,181. But the film failed to show a profit on production costs of $10,284,014 because of the distribution charges and expenses amounting to an additional $15,308,083.»

: «The Bible—In the Beginning… (1966) was financed by the Italian producer Dino De Laurentiis from private investors and Swiss banks. He then sold distribution rights outside Italy jointly to Fox and Seven Arts for $15 million (70 percent of which came from Fox), thereby recouping the bulk of his $18 million investment. Although The Bible returned a respectable world rental of $25.3 million, Fox was still left with a net loss of just over $1.5 million. It was the last biblical epic to be released by any major Hollywood studio for nearly twenty years.»

[561] : «In the case of Spartacus, overseas earnings to 1969 amounted to $12,462,044, while U.S. and Canadian rentals (even including a million-dollar TV sale) were only $10,643,181. But the film failed to show a profit on production costs of $10,284,014 because of the distribution charges and expenses amounting to an additional $15,308,083.»

[562] : «The Bible—In the Beginning… (1966) was financed by the Italian producer Dino De Laurentiis from private investors and Swiss banks. He then sold distribution rights outside Italy jointly to Fox and Seven Arts for $15 million (70 percent of which came from Fox), thereby recouping the bulk of his $18 million investment. Although The Bible returned a respectable world rental of $25.3 million, Fox was still left with a net loss of just over $1.5 million. It was the last biblical epic to be released by any major Hollywood studio for nearly twenty years.»

[326] Nixon, Rob Psycho (1960) – Articles (.). Turner Classic Movies. 9 2012.

[327] 101 Dalmatians (1961) (.). Box office. 29 2016.

[328] One Hundred and One Dalmatians (.). Variety (31 December 1960). 23 2011.

[329] Block, Hayley Taylor (2010), West Side Story, . 449 In: Block & Wilson, 2010.

[BlockWilson434-330] : ¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ ⁷ Block & Wilson, 2010, p. 434.
: « : $68.4; : $46.2; : $8.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $20.1; : $11.2; : $5.4 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

2001 : « : $16.4; Foreign Rentals: $5.5; : $10.3 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $22.1; : $18.2; : $44.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $16.2; : $15.6; : $7.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $13.9; : $19.3; : $8.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

: « : $29.2; : $7.9; : $6.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[568] : « : $68.4; : $46.2; : $8.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[569] : « : $20.1; : $11.2; : $5.4 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[570] 2001 : « : $16.4; Foreign Rentals: $5.5; : $10.3 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[571] : « : $22.1; : $18.2; : $44.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[572] : « : $16.2; : $15.6; : $7.0 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[573] : « : $13.9; : $19.3; : $8.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[574] : « : $29.2; : $7.9; : $6.6 (Initial Release — Unadjusted $s in Millions of $s).»

[331] 
1962: Lawrence of Arabia (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. — «Worldwide Box Office: $69,995,385; International Box Office: $32,500,000». 15 2011.

( ): Lawrence of Arabia (.). Box office. — «$44,824,852». 29 2016.

[576] 1962: Lawrence of Arabia (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. — «Worldwide Box Office: $69,995,385; International Box Office: $32,500,000». 15 2011.

[577] ( ): Lawrence of Arabia (.). Box office. — «$44,824,852». 29 2016.

[HallNeale165-332] : ¹ ² ³ Hall & Neale, 2010, p. 165–166
: Columbia released the $13.8 million Lawrence of Arabia (1962), filmed in Super Panavision 70, exclusively on a hard-ticket basis, but opened Barabbas (1962), The Cardinal (1963), and the $12 million Joseph Conrad adaptation Lord Jim (1965) as 70mm roadshows in selected territories only."

: «Darryl’s most ambitious independent production was The Longest Day (1962), a three-hour reconstruction of D-Day filmed in black-and-white CinemaScope at a cost of $8 million. It grossed over $30 million worldwide as a roadshow followed by general release, thereby helping the studio regain stability during its period of reorganization.»

: «With top tickets set at an all-time high of $5.50,Cleopatra had amassed as much as $20 million in such guarantees from exhibitors even before its premiere. Fox claimed the film had cost in total $44 million, of which $31,115,000 represented the direct negative cost and the rest distribution, print and advertising expenses. (These figures excluded the more than $5 million spent on the production’s abortive British shoot in 1960-61, prior to its relocation to Italy.) By 1966 worldwide rentals had reached $38,042,000 including $23.5 million from the United States.»

[579] : Columbia released the $13.8 million Lawrence of Arabia (1962), filmed in Super Panavision 70, exclusively on a hard-ticket basis, but opened Barabbas (1962), The Cardinal (1963), and the $12 million Joseph Conrad adaptation Lord Jim (1965) as 70mm roadshows in selected territories only."

[580] : «Darryl’s most ambitious independent production was The Longest Day (1962), a three-hour reconstruction of D-Day filmed in black-and-white CinemaScope at a cost of $8 million. It grossed over $30 million worldwide as a roadshow followed by general release, thereby helping the studio regain stability during its period of reorganization.»

[581] : «With top tickets set at an all-time high of $5.50,Cleopatra had amassed as much as $20 million in such guarantees from exhibitors even before its premiere. Fox claimed the film had cost in total $44 million, of which $31,115,000 represented the direct negative cost and the rest distribution, print and advertising expenses. (These figures excluded the more than $5 million spent on the production’s abortive British shoot in 1960-61, prior to its relocation to Italy.) By 1966 worldwide rentals had reached $38,042,000 including $23.5 million from the United States.»

[HallNeale164-333] Hall & Neale, 2010, p. 164. «West cost $14,483,000; although it earned $35 million worldwide in just under three years, with ultimate domestic rentals totaling $20,932,883, high distribution costs severely limited its profitability.»

[Bond_grosses-334] : ¹ ² ³ ⁴ Block & Wilson, 2010, pp. 428–429
: « : 78,9; : 2 $»

: « : 124.9; : 3 $»

: « : 116; : 7,2 $»

: « : 210,3; : 34 $»

[584] : « : 78,9; : 2 $»

[585] : « : 124.9; : 3 $»

[586] : « : 116; : 7,2 $»

[587] : « : 210,3; : 34 $»

[Chapman_(2007)-335] : ¹ ² Chapman, James. Licence to thrill: a cultural history of the James Bond films (.). — I.B. Tauris, 2007. — ISBN 978-1-84511-515-9.
: «The American release of From Russia With Love again followed on some six months after it had been shown in Britain. North American rentals of $9.9 million were an improvement on its predecessor, helped by a slightly wider release, though they were still only half the $19.5 million of foreign rentals… (Online copy at Google Books)»

: «Diamonds Are Forever marked a return to the box-office heights of the Bond films of the mid-1960s. Its worldwide rentals were $45.7 million…»:Page needed

: «These figures were surpassed by Moonraker, which earned total worldwide rentals of $87.7 million, of which $33 million came from North America. (Online copy at Google Books)»

[589] : «The American release of From Russia With Love again followed on some six months after it had been shown in Britain. North American rentals of $9.9 million were an improvement on its predecessor, helped by a slightly wider release, though they were still only half the $19.5 million of foreign rentals… (Online copy at Google Books)»

[590] : «Diamonds Are Forever marked a return to the box-office heights of the Bond films of the mid-1960s. Its worldwide rentals were $45.7 million…»:Page needed

[591] : «These figures were surpassed by Moonraker, which earned total worldwide rentals of $87.7 million, of which $33 million came from North America. (Online copy at Google Books)»

[Balio_(2009)-336] : ¹ ² Balio, Tino. United Artists, Volume 2, 1951–1978: the Company that Changed the Film Industry (.). — , 2009. — P. 261. — ISBN 978-0-299-23014-2.
: «The picture grossed twice as much as Dr. No, both domestic and foreign—$12.5 million worldwide (Online copy at Google Books)»

: «Produced on a budget of around $3 million, Goldfinger grossed a phenomenal $46 million worldwide the first time around. (Online copy at Google Books)»

[593] : «The picture grossed twice as much as Dr. No, both domestic and foreign—$12.5 million worldwide (Online copy at Google Books)»

[594] : «Produced on a budget of around $3 million, Goldfinger grossed a phenomenal $46 million worldwide the first time around. (Online copy at Google Books)»

[HallNeale184-337] : ¹ ² Hall & Neale, 2010, p. 184
: «My Fair Lady (1964) cost Warners $17 million to make, including a record $5.5 million just for the film rights to the Alan Jay Lerner and Frederick Loewe stage show and a million-dollar fee for star Audrey Hepburn. By 1967 it was reported to have grossed $55 million from roadshowing worldwide.»

': «Mary Poppins (1964), which cost $5.2 million, was neither a stage adaptation nor a roadshow. But by the end of its first release, it had grossed nearly $50 million worldwide.»

[596] : «My Fair Lady (1964) cost Warners $17 million to make, including a record $5.5 million just for the film rights to the Alan Jay Lerner and Frederick Loewe stage show and a million-dollar fee for star Audrey Hepburn. By 1967 it was reported to have grossed $55 million from roadshowing worldwide.»

[597] ': «Mary Poppins (1964), which cost $5.2 million, was neither a stage adaptation nor a roadshow. But by the end of its first release, it had grossed nearly $50 million worldwide.»

[338] Burns, Douglas (2010), Mary Poppins, . 469 In: Block & Wilson, 2010.

[339] (.). Box office. 29 2016.

[340] Hawaii (.). The Numbers. Nash Information Services. LLC. 18 2011.

[341] Who's Afraid of Virginia Woolf? (.). Box office. 29 2016.

[HallNeale188-342] Hall & Neale, 2010, p. 188. «The negative cost of Warners' adaptation of Edward Albee’s play Who’s Afraid of Virginia Woolf? (1966)—filmed in widescreen and black-and-white, largely set in domestic interiors and with a cast of only four principal actors—amounted to $7,613,000, in part because stars Elizabeth Taylor and Richard Burton received up-front fees of $1 million and $750,000 respectively, against 10 percent of the gross apiece. (Their participation was presumably added to the budget).»